• #Oui la consigne mixte nationale en 2026
    1) PROBLÈME Malgré les efforts de collecte depuis 30 ans, nous ne sommes pas sur la bonne trajectoire : - Taux de collecte des bouteilles plastique : 60% (objectif : 90% 2029) - Taux de collecte des canettes : 45% (objectif : 90% 2029) - Taux de réemploi : moins de 3% (objectif 10% 2027) = 8 milliards de bouteilles plastique et canettes perdues chaque année 2) DEMANDE Mettre en place de la CONSIGNE MIXTE pour réemploi et recyclage des boissons à l'échelle nationale en 2026. La consigne mixte est LA COMBINAISON GAGNANTE, permettant d'intégrer les emballages pour réemploi et pour recyclage de boissons à travers un dispositif unique et national, accessible à tous, et permettant de collecter plus de 90% des emballages pour les remployer ou les recycler. Il s'agit de LA MEILLEURE OPTION pour assurer la viabilité économique du système, développer l'offre du réemploi, créer un réseau national performant, tout en accompagnant les consommateurs dans leurs habitudes de consommation vers le réemploi. Une SOLUTION CONCRÈTE ET EFFICACE permettant de gagner sur la réduction des emballages à usage unique via le réemploi et d'augmenter significativement la performance de collecte et la qualité de la matière pour le recyclage. Il y aura plus de 20 systèmes de consigne en Europe en 2025, et nous ? 3/ URGENCE Malgré 5 années de sondages nationaux démontrant le soutien massif de la population à la consigne des boissons (9 Français sur 10), nous attendons toujours... La loi française prévoit la possibilité d'une consigne mixte depuis 2020, mais ne l'applique pas (art. 66, loi AGEC). La future réglementation européenne sur les emballages et déchets d'emballages (PPWR) prévoit aussi les conditions d'application d'une consigne sur les bouteilles plastiques et les canettes pour les pays les moins performants, dont la France, mais nous pourrions perdre de nombreuses années avant qu'une décision gouvernementale soit prise. Cela se traduirait par des années et des investissements perdues dans le réemploi ainsi que de voir une consigne pour recyclage être imposée par l'Europe sans être articulée avec celle pour réemploi. Une opportunité manquée! Nous demandons au Premier Ministre de prendre la décision en 2024 d'appliquer la loi AGEC afin qu'un système soit en place en 2026, seule option permettant de corriger in extremis notre trajectoire environnementale et atteindre les objectifs. Monsieur Le Premier Ministre, avec nous, et tous les signataires de cette pétition, dites #OUI LA CONSIGNE !
    76 sur 100 Signatures
    Créée par Alexis E.
  • TAXE DÉCHETS 40% trop CHERE à Marseille, NOUS PAYONS pour les PROS, Que fait la Métropole !?
    En effet tous les professionnels sont censés : Trier leurs déchets et les faire enlever par des sociétés spécialisées. OU Contribuer aux coûts que leur déchets engendrent lorsque c’est la Métropole qui les collecte en payant la Redevance Spéciale. L’enjeu est de Réduire de 20 millions d’Euros la TEOM que paient les Marseillais.es, ce qui corrigerait cette injustice inacceptable, et la précarité de la population augmente. La Métropole possède la compétence et le devoir d’appliquer la Redevance Spéciale. De plus, elle écrit sur son propre site, « ... [la redevance spéciale] établit une équité entre tous les usagers en permettant aux ménages de ne pas supporter les coûts d’élimination des déchets produits par les activités économiques. Elle favorise le tri en incitant les professionnels à mieux gérer et valoriser leurs déchets, et à réduire davantage leur production de déchets ménagers assimilés. Elle contribue à l’amélioration de la gestion de l’espace public pour permettre une ville plus propre ». https://dechets.ampmetropole.fr/pro/votre-mode-de-collecte/avec-la-metropole/ Nous demandons que la Métropole: • Fasse payer à TOUS les professionnels la Redevance Spéciale • Accentue la pression sur les professionnels privés et publics qui génèrent le plus de déchets • Mette en place un outil permettant le suivi des paiements (PME, ETI ,GE). En comparaison le Grand Lyon (similaire en taille) perçoit 32 millions d’€ de Redevance Spéciale alors qu’Aix-Marseille Provence Métropole n’en perçoit que 8 millions. QUE FAIT LA MÉTROPOLE !? ON EN A MARRE !
    2 333 sur 3 000 Signatures
    Créée par Alternatiba / ANV Cop21 M. Picture
  • URGENT ! STOP ! SECODE (80), Une montagne de déchets ménagers
    SECODE = SErvice de COnditionnement des DEtritus (DEchets) VALOPOLE = Pôle de Multivalorisation des Déchets: L'extension de 50ha de la déchetterie SECODE à 10km d'Amiens sur une zone : - agricole et boisée, - près d'un site historique (moins d'1 km), et à proximité d'une réserve naturelle, - régulièrement empruntée par les habitants pour se promener (GR existant), ou simples trajets, - entourée de villages et futurs habitats, zone constructible, de lycées et écoles, Donc l'extension de la décharge monumentale de déchets ménagers atteignant des sommets : - visible au loin et apparaissant sur Google ! carré blanc ! (La photo a été prise à 3km environ, la masse blanche est un apport) - en provenance d'une bonne part du département (700000 habitants) avec pollution (déjà en l'état) et pire à venir ; Donc avec pollution : * nuisance olfactive toxique et insupportable, * environnementale avec passage de camions et dégradation de l'infrastructure, accompagné de vibrations du sol, occasionnant également une gêne sécuritaire, * visuelle avec vols de déchets : plastiques, sacs entiers sur les bas-côtés, et pas seulement * sonore, * Transformation de la biodiversité : les mouettes viennent se nourrir (la mer est à 70km), troupeaux de sangliers, les mouches, etc.... et que mangent-ils ? * qu'en est-il de la nappe phréatique ? Tout cela avec des informations du projet qui se met en place ... avant avis des habitants : - FR3, 20 juillet 2023 : "Extension du centre de déchets face aux habitants", - Création d'un collectif le 15/06/23 "CONTRE UN SIECLE D'ENFOUISSEMENT" - Concertation publique par la société du 12 juin au 12 juillet 2023 afin de "s'informer et de s'exprimer" étayée de visites du site et d'ateliers, - commune de Boves, 24 mai 2023 : Concertation publique, - FR3, 12 avril 2023, "les habitants réclament des réponses à l'enfouissement" - Courrier picard, annonce du lancement d'une pétition le 26 février 23, et articles réguliers - Change.org : 21 février 2023 une première pétition, - usine nouvelle, 18 septembre 2022 : le projet est annoncé par la société, Bref, Pot de fer contre coffre-fort ! ... Ceci EST UN SCANDALE ! Augmenter la capacité d'une décharge pour accueillir les déchets ménagers en provenance des communes environnantes alors que l'on est capable et, cela est programmé par la loi au 1er janvier 2024, de faire des bacs à compost (proximité) et qu'il y a urgence à limiter l'ensemble de nos déchets pour préserver la planète donc la vie, C'est déverser sa m.... chez les autres ! C'est 1 pour tous, Tous contre 1 ! L'avenir des habitants, c'est l'environnement ! L'avenir des Puissants n'est pas celui des Habitants mais celui des mourants ! Une Honte ! Stop à cette décharge !
    59 sur 100 Signatures
    Créée par Ag A.
  • STOP AUX ATTEINTES À L’EAU, AU TERRITOIRE ET À L’ENVIRONNEMENT DANS NOS COMMUNES !
    Ce sont pourtant des biens communs que nous nous devons de défendre et de protéger ! Si vous soutenez l’action de notre collectif Eau voleurs, Signez notre pétition ! Rejoignez le mouvement ! https://www.helloasso.com/associations/adeep/adhesions/bulletin-d-adhesion-et-de-cotisation-prix-libre
    2 043 sur 3 000 Signatures
    Créée par Collectif Eau voleurs
  • POUR LE RETRAIT DE LA LÉGION D’HONNEUR AU PDG DE TOTAL
    Nous, membres d’Extinction Rebellion Bordeaux et des collectifs signataires, sommes scandalisé-es par la remise de cette distinction et demandons que la légion d’honneur remise à M. Pouyanné lui soit retirée. Cette distinction peut en effet être retirée pour “avoir commis des actes contraires à l’honneur ou de nature à nuire aux intérêts de la France”. Et à travers l’exercice de sa fonction, son obstination à poursuivre ses projets climaticides et ses prises de paroles qualifiées de greenwashing, M. Pouyanné nuit clairement aux intérêts de la France (et du monde), pourquoi ? - Parce que le GIEC déclare dans son sixième rapport du 20 mars 2023, que «les politiques actuelles en œuvre nous mènent à un réchauffement estimé à 3,2° en 2100 et que cela signifierait un monde invivable dans de nombreuses régions et pour beaucoup d’espèces (1); - Parce que le Haut Conseil pour le Climat vient d’épingler la France pour son retard en matière d’adaptation à la hausse des températures et sa lenteur dans le rythme de baisse des émissions de gaz à effet de serre (2); - Parce que l’Agence Internationale de l’Énergie ne cesse de répéter qu’AUCUN NOUVEAU PROJET D’EXTRACTION D’ÉNERGIES FOSSILES NE DOIT ÊTRE CONSTRUIT; - Parce que que de nombreux scientifiques et experts du GIEC ont dénoncé « le développement par TotalEnergies de nouveaux projets fossiles et appelé les actionnaires à rejeter cette stratégie climatique »; (3) - Parce que le méga-projet pétrolier de TotalEnergies, EACOP, est une “aberration environnementale”(4), « fondamentalement incompatible avec l’urgence de limiter le réchauffement climatique à 1,5°et qu’il mettra en danger des espèces vulnérables; - Parce que 90% de la production de TotalEnergies est de l'énergie fossile, qu’elle est donc l’une des plus grosses contributrices aux émissions de GES en Europe, et que l’industrie fossile est responsable de 86% des émissions de CO2 sur la dernière décennie; TotalEnergies poursuit sans relâche, ses projets écocides ! M. le Président de la République, retirez la légion d’Honneur à M. Pouyanné, il en est de votre responsabilité. Ce serait là un geste fort adressé à M. Pouyanné ainsi qu’aux autres patrons écocidaires pour dire notre demande impérieuse de stopper tout projet climaticide et écocidaire, urgemment. A toi, la citoyenne ou le citoyen choqué-e par ce non-sens, signe dès maintenant cette pétition, car le temps presse. Dans quelques mois aura lieu la COP 28, qui permettra de porter la question de la responsabilité des énergies fossiles dans le chaos climatique. Partage massivement cette pétition pour être entendu-e et faire pression sur le gouvernement. Associations cosignataires : - Extinction Rébellion France - Stop Total - Résistance Climatique -Le bruit qui court (1) https://datascientest.com/rapport-du-giec-ce-quil-faut-retenir-des-nouvelles-donnees-climatiques (2) https://www.hautconseilclimat.fr/wp-content/uploads/2023/06/Communique-de-presse-Rapport-annuel-HCC-2023.pdf (3) https://www.novethic.fr/actualite/environnement/climat/isr-rse/totalenergies-et-allegations-de-neutralie-carbone-la-plainte-deposee-pour-greenwashing-jugee-recevable-151521.html (4) https://www.amisdelaterre.org/eacop-voie-desastre-enquete-inedite-projet-total-tanzanie
    10 910 sur 15 000 Signatures
    Créée par Extinction Rébellion Bordeaux
  • Alerte : avant le 21 juin, disons non à l'incinérateur de Planguenoual (Bretagne)
    ► Climaticide Le bilan carbone d'un incinérateur est catastrophique, sans doute plus mauvais qu'une centrale électrique à gaz. Pour 80 000 tonnes de déchets ménagers incinérés, c'est autour de 80 000 tonnes de CO2 émis, le principal gaz à effet de serre. Dans 25 ans, chaque individu aura un budget carbone de 2,1 tonnes à ne pas dépasser.  L'incinérateur de Planguenoual va "manger" plus de la moitié du budget carbone individuel des habitants de Lamballe Terre et Mer. Pour tous les nouveaux projets d'incinérateurs estimer et rendre public le bilan carbone est obligatoire. ► Coûteux : UN PROJET RUINEUX POUR LES CITOYENS Coût du nouvel incinérateur : 107 millions € Contrat de Délégation de Service Public sur 20 ans : la collectivité ne gérera pas en direct cet équipement et laissera les pleins pouvoirs  à l’entreprise délégataire. Elle sera cependant en charge du recouvrement des taxes auprès des contribuables. La facture sera payée par les contribuables et entreprises du territoire. Les dividendes seront perçus, sans risque, par les actionnaires et entreprises telles que Véolia/Suez. De plus, le budget sera grevé de près de 100€ de taxe carbone par tonne d'équivalent C02 soit 8 millions d'euros/an. ► AUCUN RÉSEAU DE CHALEUR ASSOCIE Aucun besoin local, pas de réseau de chaleur associé ni à proximité. La plus grande partie de l'énergie, sous forme de chaleur, issue de l'incinération, n'est pas donc pas valorisable.  En milieu rural, il n'y a pas possibilité de mettre en place un réseau de chaleur et aucun projet permettant d'utiliser cette énergie n'a été présenté. ►UN OBSTACLE A LA RÉDUCTION DES DÉCHETS Un incinérateur demande un feu permanent, Il faut un apport constant et continu de déchets pendant toute sa durée de vie.  "Il faut nourrir la bête" C'est un verrou qui engage la collectivité à produire suffisamment de déchets. C'est un outil industriel qui vient à l'encontre de toute politique de réduction des déchets sur notre territoire. En plus des gaz à effet de serre, les incinérateurs produisent des polluants en sortie de cheminée, résidus solides toxiques, les «mâchefers » et des résidus dangereux d’épuration des fumées (REFIOM) . Pour 80 000 tonnes de déchets incinérés annuels, il restera près de 20 000 tonnes de mâchefers et 2400 tonnes de REFIOM ! ► UN PROJET DU PASSÉ A l'heure du dérèglement climatique, de la chute de  biodiversité, d'une pollution plastique généralisée, il est impensable de s'engager pour 20 ans dans une incinération massive et continue de déchets produisant massivement des gaz à effet de serre !  L'urgence est de : 1. Réduire fortement l'usage du plastique et interdire les plastiques à usage unique 2. Mettre en place une solution de collecte après tri à la source et un traitement vertueux des biodéchets 3. Adopter une tarification incitative : une taxe ou mieux une redevance qui tiennent compte de la quantité de déchets résiduels produits (à incinérer ou à enfouir). Le citoyen est ainsi encouragé à mieux trier et réduire ses déchets. 4. Développer la réutilisation et le réemploi 5. S'attaquer au gaspillage alimentaire Des projets de nouveaux incinérateurs ou d’extensions s’annoncent un peu partout en Bretagne : Dinan-Taden, Gueltas, Pontivy, Brest, Vannes, Auray, Vitré, Retiers…   Planguenoual est le 1er projet à sortir : Il est d’autant plus important de le contrer !!! L’enjeu touche toute la Bretagne. Ces projets très contraignants seront lourds de conséquences environnementales, sanitaires et financières jusqu'en 2050. Il est possible de faire autrement !  Travaillons ensemble à l'émergence d'un nouveau monde désirable, respirable, riche de biodiversité, sobre en consommation d'énergie, de matières premières et ressources !  NOUS DEMANDONS aux élus de Kerval : ►des mesures de pollution sérieuses et complètes, effectuées par un bureau d’études indépendant, permettant de faire un état des lieux au terme de 30 ans de fonctionnement de l’outil actuel ; ►une politique ambitieuse, concrète et conforme aux enjeux nationaux et européens (Stratégie Nationale Bas Carbone visant à lutter contre le règlement climatique, économie circulaire.. ) de réduction des déchets avec les moyens humains et financiers à la hauteur des enjeux environnementaux et sanitaires. Il s'agit notamment de mettre en œuvre sur tout le territoire de Kerval (141 communes), concomitamment le tri à la source des biodéchets avec collecte séparée ET une redevance incitative, assortis des moyens nécessaires pour accompagner avec pédagogie ces démarches ; ►la constitution de groupes de travail composés de citoyens, d'associations, de techniciens et d'élus pour mettre en place, ensemble, cette politique de réduction des déchets sur les sujets suivants en priorité : - tri à la source des biodéchets et collecte en porte à porte - redevance incitative - le réemploi et la consigne pour réemploi - élaboration du Programme Local de Prévention des Déchets Ménagers et Assimilés (PLPDMA) des collectivités pour les territoires qui ne l'ont pas encore écrit. (obligatoire depuis 2012) ►une pause dans la prise de décision concernant concernant le devenir de l'incinérateur de Planguenoual ; ►que soit réexaminée l’alternative de la mise aux normes de l'incinérateur existant, sans augmentation de capacité, avec l'objectif de ne pas obérer l’avenir sur 25 ans et se donner 10 ans pour prendre en compte les évolutions en cours ; ►à être reçus par Kerval. Contact : [email protected] Sources :  - Dossier du projet : https://drive.google.com/file/d/1QclukuJorUShOtq2z8DbHZ90Af7nX8ju/view Pour plus d'infos sur : - Cas de Besançon : https://www.zerowastefrance.org/wp-content/uploads/2018/03/cs9-besancon-fr.pdf - Article Incinération : https://www.zerowastefrance.org/lincineration-des-dechets/ - L'histoire de Milan : https://www.zerowastefrance.org/wp-content/uploads/2022/01/milan-etude-de-cas.pdf
    1 437 sur 2 000 Signatures
    Créée par ZERO WASTE FRANCE / ZERO WASTE BAIE DE SAINT-BRIEUC / URGENCE CLIMATIQUE 22 / STOP METHANE PLOUHA / ERQUY PLURIEN ENVIRONNEMENT / GLAZ Natur / ARPE / EXTINCTION REBELLION SAINT-BRIEUC / EAUX & RIVIERES DE BRETAGNE
  • Pour un droit à respirer, partout en France
    La pollution de l’air : un danger mortel invisible… En France, la pollution de l’air est responsable de plus de 40 000 décès prématurés par an, dont plus de 4 300 dans la région Auvergne-Rhône-Alpes (Santé Publique France). En 2021, une étude coordonnée par l'université Harvard a même réévalué le nombre de décès prématurés en France à près de 100 000. Au-delà de cet état de fait, les études se multiplient pour montrer le lien entre la pollution de l’air et différentes maladies : asthme, maladies cardiovasculaires et pulmonaires, cancers, maladies du foie, ou d’autres maladies du type Alzheimer ou Parkinson. La pollution de l’air est ainsi avant tout une question de santé publique. C’est également un enjeu de justice sociale. De fait, les personnes les plus vulnérables sont celles qui sont le plus exposées aux pollutions. Dans l’agglomération lyonnaise par exemple, les personnes vivant à proximité des grands axes routiers ou autour de la Vallée de la chimie, dont les revenus sont en moyenne plus faibles (Insee), sont aussi celles qui souffrent le plus de la pollution de l’air. Ces impacts ont un coût, sanitaire et socio-économique, estimé à près de 100 milliards d’euros par an en France (Sénat). …En décalage avec l’inaction de l’Etat Ce constat est alarmant, mais le plus inquiétant est le décalage entre les enjeux soulevés par la pollution de l’air et les mesures pour le moins insuffisantes engagées par l’Etat et ses services. En octobre 2022, le Conseil d’Etat condamnait à nouveau l’Etat pour son inaction en matière de pollution de l’air, et plus précisément pour son non-respect des normes européennes, notamment dans l’agglomération lyonnaise. L’Etat ne fait toujours pas assez pour protéger ses citoyen·ne·s et leur offrir un air sain, conformément à l’obligation édictée par la loi sur l’air de 1996. En septembre 2022, le Conseil d’Etat reconnaissait aussi le droit de tou·te·s à vivre dans un environnement sain comme liberté fondamentale. Pourtant, l’Etat possède plusieurs leviers d’action pour limiter la pollution de l’air, dont les Plans de Protection de l'Atmosphère (PPA), mis en place par les préfectures pour les agglomérations de plus de 250 000 habitants. Depuis un an, une quinzaine de ces plans sont en cours de révision, ce qui aurait pu être l’occasion pour l’Etat de réhausser ses ambitions contre la pollution de l’air. Or, le constat est clair : les PPA révisés ces derniers demeurent insuffisants et incohérents. En effet, peu d’objectifs sont chiffrés, les calendriers de mise en œuvre des mesures sont trop peu ambitieux et rarement précisés, et il est déjà certain que les moyens alloués par l'Etat seront insuffisants pour mettre en œuvre la totalité des mesures du PPA… Pour toutes ces raisons, et parce que protéger la santé de tou·te·s ainsi que l’environnement devrait être la priorité de l’Etat, plusieurs associations, habitant·e·s, et collectivités décident tour à tour de demander l’annulation par la justice de leur PPA, afin de faire reconnaître son insuffisance et d’en obtenir une version plus ambitieuse. Ces mouvements se structurent ainsi à Marseille (par les Amis de la Terre Marseille), Nice (par le Collectif Citoyen 06), Grenoble (par la Mairie de Grenoble) ou Lyon (par les association de la présente campagne Pour un droit à respirer), et montrent que la faiblesse des plans locaux de qualité de l’air est systémique et persistante, et doit être dénoncée partout. Nous, scientifiques, représentant·e·s de la société civile, avocat·e·s, politiques, citoyen·ne·s, appelons à des plans locaux de lutte contre la pollution de l’air réellement protecteurs. Nous demandons à ce que la pollution de l’air soit désormais considérée comme un enjeu prioritaire de santé publique et de lutte contre les inégalités sociales et environnementales. Nous exigeons un droit à respirer !
    8 869 sur 9 000 Signatures
    Créée par Les associations de la campagne : Notre Affaire à Tous, Respire, Générations Futures, La rue est à nous - Lyon, FNE Rhône Picture
  • Où sont les 30 000 points d’eau potable prévus par la loi ?
    La pollution plastique est un fléau environnemental et sanitaire majeur, due en partie au recours irraisonné à la bouteille plastique, premier déchet plastique à usage unique retrouvé sur les plages en Europe.(2) C’est bien face à cette urgence, que la loi AGEC a décrété un objectif de zéro emballage plastique à usage unique en 2040 et une réduction de 50% des bouteilles en plastique en 2030 ! Vous avez une responsabilité majeure dans le succès ou l’échec de cet objectif car le développement des points d’eau est l’une des mesures phares prévues par la loi. Nous, associations de protection de l’environnement, de consommateurs, entreprises engagées, parlementaires, scientifiques, citoyens, acteurs publics et entreprises engagées, nous vous interpellons pour vous demander la mise en place avant l’été 2023 de ces points d'eau et l’information des visiteurs via une signalétique visible. Plus largement, la bouteille plastique constitue une aberration à plusieurs titres : - 15 milliards de bouteilles plastiques sont vendues en France par an - Fabriquée à partir de pétrole, la bouteille plastique est émettrice de gaz à effets de serre sur tout son cycle de vie - Des études évoquent 3 litres d’eau pour la fabrication d’une seule bouteille d’eau ! L’eau embouteillée contribue ainsi à assécher les nappes phréatiques. - Les bouteilles en plastique sont contaminées par des microplastiques, qui constituent un risque sanitaire. - Le coût de l'eau vendue en bouteille plastique est prohibitif dans les lieux accueillant du public et inadmissible, puisque l’accès gratuit à l’eau potable est obligatoire. Pour l’exemple, en gare, le prix moyen est de 2 euros à 2,50 euros pour une bouteille de 50 cl d’eau, soit plus de 8 euros pour une famille de 4 personnes. Selon les estimations du Ministère de la transition écologique, près de 30 000 points d’eau devraient être ouverts en France dans des lieux de forte affluence, notamment vos établissements. Or, force est de constater que vous n’êtes pas au rendez-vous. Nous vous rappelons que des sanctions(1) sont prévues en cas de non respect de la loi et que la complaisance par rapport à des difficultés techniques souvent largement exagérées(3), ne pourra pas durer. A l’approche de l’été, qui risque d’être à nouveau très chaud du fait du dérèglement climatique, nous vous demandons d’appliquer enfin la loi et de permettre aux millions de personnes qui passent par vos établissements de pouvoir s’hydrater facilement, sans recourir à la bouteille plastique onéreuse et polluante. Ces points d’eau devront être pérennisés et valorisés pour accompagner durablement cette transition nécessaire. Signez et partagez cette pétition pour demander aux établissements accueillant du public d’ouvrir et de signaler les points d’eau prévus par la loi avant l’été 2023. *** (1) Article L541-15-10 - Code de l'environnement https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043974900, Article 77 - LOI n° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire https://www.legifrance.gouv.fr/loda/article_lc/JORFARTI000041553842 et décret n° 2020-1724 https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042753962 Article D541-340 - Code de l'environnement https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000042883671 Article L171-8 - Code de l'environnement https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038846886 (2) selon l’étude d’impact de la commission européenne (3) Reporterre, Fabienne Loiseau, 22/02/2023 : https://reporterre.net/Gares-et-metros-peinent-a-installer-des-fontaines-a-eau *** Premiers signataires : Surfrider Foundation Europe, Zero Waste France, Biocoop, CLCV (Association nationale de consommateurs et usagers), Arthur Le Vaillant (navigateur), Stephane Le Diraison (navigateur), Angèle Préville (sénatrice), Dorothée Moisan (journaliste), Capucine Dupuy (autrice), Catherine Chabaud (député européenne), Nelly Pons (auteure), Nathalie Gontard (scientifique), Fédération française de voile, France Nature Environnement, Ma Petite Planète, Label Protection des Océans, Réseau Vrac, Réseau Consigne, Association Water-Map, Objectif Zéro Plastique, Orléans Zéro Plastique, Circulab, M. & Mme Recyclage, La Fresque du Plastique, Wings of the Ocean, MerTerre, Swim for Change, World Cleanup Day, Collectif Eau 88, Coordination EAU Ile-de-France, OceanAsCommon, In Off Plastic, Cantine Sans Plastique, Waves Of Change, Eau de Paris, UAE (L'Union des professionnels du traitement de l'eau), Castalie, Ekō, Behring, HOALI, Twyd, Kanalien, Altereo, SMICVAL, Nathalie Gontard, Expédition Med, Brita France, Fondation Bye Bye Plastic, Plastic Attack France, Weetulip, Solable / LaVie, Gobi, Leko, Qwetch, Plastic Odyssey
    23 685 sur 25 000 Signatures
    Créée par No Plastic In My Sea Picture
  • STOP CROISIERES GRANDE RADE DE TOULON
    A quai, un tel mastodonte émet autant de dioxyde d'azote et de particules fines que 30.000 voitures roulant à 30 km/heure et autant d'oxyde de soufre que plusieurs millions de voitures diesel. Il consomme 8 à 10 fois plus de carburant qu'un ferry. Autoriser 100 de ces paquebots géants à faire escale équivaut à rajouter 800 à 1.000 escales de ferry aux 1.200 déjà programmées à Toulon. Mais cette fois à La Seyne-sur-Mer. Sur un quai qui n'est même pas électrifié. Le centre de Toulon et les quartiers adjacents au port sont déjà asphyxiés par les ferries et le flux des véhicules embarquant et débarquant. Un objet laissé sur le balcon s’y recouvre de suie en 24h. Les particules que contiennent les fumées sont responsables de maladies respiratoires. Nous ne pouvons pas laisser cette situation empirer ni s’étendre à La Seyne-sur-Mer. Les citoyens seront bientôt soumis à une zone à faible émission (ZFE) en ville. Mais quel sens cela a-t-il si, juste à côté, la pollution explose ? L’électrification des quais, entreprise par la municipalité après des années de réclamations, ne résoudra pas tout, loin s’en faut : les navires trop anciens ne sont pas équipés pour se brancher - mais le port les accueille quand même - et les ferries, en été surtout, font une escale à la fois trop courte et trop énergivore pour pouvoir couper les machines. Il y a urgence : dès ce printemps, MSC, l'armateur qui cause tant de soucis à Marseille, a ouvert une tête de ligne au môle d'armement de la Seyne, c'est-à-dire que les passagers y embarqueront et débarqueront 26 fois dans la saison. En mer comme à quai, c'est toute la Méditerranée qui est mise en danger par les rejets de ces véritables villes flottantes. Selon l'ONG Transport et Environnement, les 203 paquebots qui ont sillonné les espaces maritimes européens en 2017 sont responsables de l’émission de plus de 10 millions de tonnes de dioxyde de carbone. Pire : cette flotte a rejeté 20 fois plus d’oxyde de soufre que les 260 millions de voitures qui circulent sur les routes européennes. Cerise sur le gâteau : si elles sont une source indéniable de pollution, les croisières n’ont que de maigres retombées sur l’économie locale. Les repas sont servis à bord, une bonne partie des touristes ne débarque pas (30 à 70 % selon l'élu de Marseille délégué à l'économie). Maigres, sauf peut-être pour le concessionnaire des ports qui espère augmenter de 10% les 11 millions d'euros de son chiffre d'affaire. Nous n'entendons lui sacrifier ni notre cadre de vie ni notre santé. La Méditerranée, son environnement et ses habitants doivent être préservés. Bornes électrifiées ou pas, que ce soit à La Seyne ou à Toulon, les paquebots de croisières, nous n'en voulons pas. Pour une rade vivable, pour un environnement préservé et pour la santé de tous, signez et faites signer la pétition, rejoignez la campagne Stop Croisière grande rade de Toulon. Plus d'infos sur : https://stop-croisieres.org/ Contact : [email protected] Destinataires : Lionel MOSNIER, Commandant du port de Toulon Christine ROSSO, Directrice des ports de la CCI du Var Jean-Pierre GIRAN , Président du Conseil de la métropole TPM Jean-Louis MASSON, Président du Conseil départemental du Var Renaud MUSELIER, Président du conseil régional de PACA Sébastien FOREST, Directeur régional de l’environnement, de l’aménagement et du logement de PACA Christophe BÉCHU, Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
    4 959 sur 5 000 Signatures
    Créée par Collectif Climat Zéro Fossile Toulon et environ
  • Mauvaise qualité de l'air à Rouen et en Normandie
    Lors des pics de pollution, on a les yeux irrités, le brouillard est jaune sur la métropole. La respiration est difficile. Si les dégazages des usines étaient interdits lors des pics de pollution, cela éviterait de rajouter à la pollution dûe au chauffage et aux transports. Malgré les vignettes Crit'Air, et les efforts de baisse de chauffage des particuliers, les entreprises doivent faire leur part en n'ajoutant pas de pollution chimique supplémentaire. Par ailleurs, Atmo Normandie ne teste que 4 polluants dont ozone et microparticules de moins de 10 microns et moins de 2,5 microns (ceux qui vont dans le sang sans être filtrés par les poumons). Les polluants émis par les incendies d'usine et d'entrepôt ne sont pas détectés par Atmo Normandie. Pour les capteurs, la qualité de l'air est .. normale. Afin de garantir la santé et la sécurité de la population, il apparait nécessaire de tester d'autres polluants.
    108 sur 200 Signatures
    Créée par Marie Agnès W.
  • STOP AUX FILTRES DE CIGARETTES SYNTHÉTIQUES !
    En France chaque année, 68 Milliards de cigarettes sont fumées par 15 Millions de fumeurs. 40 Milliards de mégots avec filtre sont jetés au sol, soit environ 25 000 tonnes ! Dans le monde, ce sont 4 300 Milliards de mégots jetés dans la rue ou la nature par an, soit 137 000 par seconde !
    83 sur 100 Signatures
    Créée par Pierre-Stéphen J.
  • Amboise : + de poubelles pour une ville + propre
    Nous sommes des volontaires en Service Civique à Unis-Cité Val d'Amboise et Tours, engagé.e.s dans une mission environnementale. Nos locaux se trouvent au coeur du quartier Maletrenne dans la ville d'Amboise : nous sommes témoins chaque jour du nombre de déchets variés par terre ! En plus de ne pas être esthétique, ces déchets polluent l'environnement et la Loire ! Jeter les mégots dans les bouches d'égout, va les amener dans la Loire et polluer le fleuve et la vie maritime ! S'il y avait plus de poubelles dans ce quartier, les habitant.e.s les utiliseraient plus ! Pour lutter contre la production d'emballages plastiques initules, nous pouvons collectivement laisser lors de l'achat aux caisses de supermarché les emballages superflus qui ne servent à rien ! Si nous arrivons à collecter MILLE signatures, nous allons demander aux Elu.e.s de la CCVA et en particulier de la Ville d'Amboise plus de poubelles de tri dans le quartier Maletrenne !
    2 213 sur 3 000 Signatures
    Créée par Unis-Cité 37