• LA RÉUNION - STOP AU GASPILLAGE ENERGETIQUE
    Pourquoi faut-il agir maintenant ? Nous, citoyens et citoyennes de l ile de la RÉUNION demandons expressément la mise en place de mesures de bon sens et d’économie d’énergie. Un cadre légal existe, mais il est largement insuffisant face aux enjeux de sobriété auxquels nous faisons face. Pour le climat et pour nos factures d’électricité, l ile de la Réunion se doit d’être exemplaire. A l’heure où nous sommes appelés, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation, la culture ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue. Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme l’équivalent en moyenne des besoins d’un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager*, laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde. Nous demandons une révision de ce règlement local de publicité. Nous avons le pouvoir de donner l’exemple, de poursuivre une politique locale ambitieuse pour l’écologie et la justice sociale. Nos communautés de commune doivent prendre les mesures suivantes de manière urgente. Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, et pas uniquement de 23h à 7h du matin. Cela inclut également les panneaux numériques dans les vitrines des magasins. - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses le jour, puis dès la fermeture des magasins, et non pas 1h avant l’ouverture et 1h après la fermeture. - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - L’extinction des lumières des bureaux dès la fermeture. De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. Prenons exemple de la ville de Mordelles, première ville bretonne à dire non à la publicité depuis le 31 octobre 2022. Notre île aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Greenpeace La Réunion, Extinction Rébellion La Réunion Attac La Réunion Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    188 sur 200 Signatures
    Créée par Extinction Rébellion La Réunion
  • Nanterre - Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    77 sur 100 Signatures
    Créée par sophie v.
  • contre la prolifération à tout va des antennes-relais
    Pétition pour une vie ensemble mieux réfléchie contre la prolifération à tout va des antennes-relais proposée par les collectifs de POISSON, PARAY le Monial, Saint CHRISTOPHE en Brionnais et La CHAPELLE sous Dun Nous, citoyens, aimant la démocratie, la république et surtout la vie, nous sommes sidérés par la prolifération exponentielle des antennes-relais de tous genres. Nous sommes nous-mêmes utilisateurs de téléphones portables et ne sommes pas contre les nouveautés mais simplement contre les excès et aberrations. C'est pourquoi nous vous invitons à signer cette pétition qui sera envoyée au gouvernement et autres élus (dont nos 4 maires) afin qu'ils réfléchissent un peu plus et surtout mieux à ce qu'ils sont en train de mettre en place et qui ne correspond pas à nos aspirations d'une vie meilleure. Au niveau national : Nous demandons un retour immédiat à la procédure d'enquête publique pour tout projet d'implantation d'antenne-relais en tous genres. Nous demandons un moratoire au niveau du développement de la 5G (et plus) et le principe de précaution clamé haut et fort mais déjà si vite oublié. Nous exigeons l'arrêt de tous les projets en cours et leur réexamen en matière d'utilité et de nuisances. L'obligation d'une étude de nuisances et d'utilité : y a-t-il vraiment besoin de cette installation ? n'y a-t-il pas d'autres solutions existantes à améliorer ? Lorsqu'une antenne s'avérerait utile, obligation du regroupement des opérateurs sur celle-ci ; Fini 2, 3 ou 4 antennes par village ! Obligation d'utiliser en priorité les pylônes existants. Implantation loin des habitations, élevages et zones très fréquentées par la faune naturelle. Obligation de respecter les haies et les arbres du site. Obligation de fournir un plan financé de remise en état originel du site après exploitation de l'antenne. Nous voulons garder des « zones blanches » garante d'un équilibre psychique de la population, garantissant des zones naturelles vierges de toutes pollution dues aux activités humaines intempestives. Nous demandons le maintien et l'entretien régulier et efficace de lignes aériennes ou enfouies téléphoniques et internet (cuivre ou fibre) indispensable à la retenue du développement exagéré des smartphones et autres « phones » source d'extrême pollution, énergivores et susceptibles de rendre les gens dépendants voire complètements accros. Nous voulons des forfaits de lignes fixes avec ou sans internet, accessibles à tous donc peu cher et taxer au minimum. En tous cas, moins chers que les forfait de mobiles. Nous sommes favorables à la réinstallation de cabines téléphoniques à la demande de la population. Nous voulons continuer à vivre dans un monde où on se parle face à face, autour d'un verre, se rencontrant chaleureusement. Nous ne voulons pas être tracés en permanence, ou abêtis par des soi-disant coach et autres influenceurs. Nous demandons de maintenir un service public à la hauteur avec des guichets accessibles à tous à moins de 15 kms de chez soi. Nos ne sommes pas contre les demandes faîtes électroniquement sur les divers portails... mais pensons à ceux qui ne sont pas « branchés » et en cas de panne. Nous voulons garder le choix de nos vies, le choix d'être ou de ne pas « être branchés ». Au niveau local dans notre petite région du charolais-brionnais : L'abandon pur et simple du projet d'antenne à Paray le Monial sur le terrain d'Emmaüs. De même l'abandon du projet sur Saint-Christophe en Brionnais et à La Chapelle sous Dun. Le démantèlement du pylône récemment installé à Poisson par ATC qui n'a pas respecté le principe d'information de la population, qui n'a été l'objet que d'une simple Déclaration Préalable au lieu du Permis de Construire obligatoire puisque la dalle fait 60m², prétexté une raison futile de satisfaire d'hypothétiques nouveaux arrivants sur la commune et a été projeté et installé sans qu'aucun opérateur en téléphonie n'en ait fait la demande à la base.
    253 sur 300 Signatures
    Créée par Christian V. Picture
  • URGENT arbres centenaires, familles d'hérissons en période d'hibernation, STOP au massacre
    Espace vert, arbres centenaires et animaux qui y vivent vont être tous sacrifié, tous massacrés pour recevoir des blocs de béton sur quatre étages . Je dois assister à toute cette horreur car cela va se passer a seulement quelques mètres de mon habitation qui elle aussi va être impactée par ce paysage de béton , fini la verdure, les chants d'oiseaux, les hérissons venant dans mon jardin, plus de levé de soleil ni de soleil tout court. J'avais la chance de travailler et de profiter chaque jour de la nature et la vie de tous ces petits animaux qui y vivaient , de pouvoir partager tout cela avec les enfants que j'accueille et pour qui la nature , les animaux, la verdure, les extérieurs et le soleil faisaient partie des belles choses de la vie. Aujourd'hui les machines ont commencé a tout détruire sur leurs passages sans aucune pitié . Le maire de Carolis n'a jamais pris la peine de me recevoir depuis mars 2022 avant que le projet soit validé, idem pour son adjointe Sophie Aspord qui me demande d'être positive car oui j'oubliais, nous allons avoir la chance qu'entre ces blocs de béton il va y avoir un minuscule espace vert qui va être crée et aussi que les toits seront végétalisés, on se paye vraiment la tête des gens. A savoir que ces blocs de béton vont dominer le quartier, ce seront les plus grands, à leurs pieds des maisons comme la mienne qui seront englouties. Béton dominant nos jardins, car balcons et terrasses en direction de nos vies intimes, de nos espaces de détente et de travail comme ma maison et mon jardin ou le soleil sera occulté par la hauteur des blocs de béton. Stop a toutes ces constructions ou Gogedim, Mr de Carolis, Mme Aspord ... préférent le béton a nos arbres , notre verdures et toutes les espéces qui y vivent. STOP AU MASSACRE.
    449 sur 500 Signatures
    Créée par Pascale R. Picture
  • Non à la ZAE de Bellebat-Targon-Faleyras et à l'artificialisation d'encore plus de terres agricoles
    En Gironde, entre Garonne et Dordogne, notre Association pour la Sauvegarde et la Salubrité de Faleyras, Targon et Environs (ASSFALTE) se bat depuis 7 ans pour la préservation de 10 hectares de terres agricoles qui devraient, selon le souhait de la Commune de Bellebat et de la Communauté des Communes Rurales de l'Entre-deux-Mers, être transformés en zone d'activités économiques (ZAE), alors même que deux ZAE existent déjà dans un rayon de moins de dix kilomètres, disposant qui plus est d'emplacements vacants. Aujourd'hui, nous avons épuisé les voies de recours auprès des juridictions compétentes, jusque devant le Conseil d’État. Pour autant, notre cause demeure plus juste que jamais: la préservation des espaces agricoles et naturels est aujourd'hui impérative pour assurer notre souveraineté alimentaire, pour recréer la biodiversité garante des équilibres vitaux à restaurer. L'actualité sanitaire, la crise géopolitique et le chaos climatique que nous subissons doivent conduire nos élus à changer radicalement de priorités pour faire face. En artificialisant les terres, la France continue à perdre tous les douze mois la capacité à nourrir une ville de l'importance du Havre, les sols sont couverts de béton au rythme d'un département tous les 10 ans, l'équivalent d'un terrain de football disparaît toutes les 7 minutes dans l'hexagone! Cette course mortifère doit cesser: il y a urgence! Ici, il reste quelques jours avant l'achat des terres, la Communauté Des Communes Rurales de l’Entre-deux-Mers pourrait encore purement et simplement renoncer à cette procédure, il est encore temps pour stopper ce projet nocif! C'est le mandat que nous donnons à nos conseillers communautaires! Notre lutte pour la préservation des espaces naturels concerne l'avenir de tous, votre soutien est indispensable, manifestez le en signant cette pétition !
    2 205 sur 3 000 Signatures
    Créée par Association Assfalte
  • Un ajournement pour dire STOP à une urbanisation démesurée !
    Car la commune persiste dans son projet immobilier ❌ NON à la poussée générale du nombre de logements dictée par le Plan Local de l’Habitat ❌ NON à la concentration urbaine excessive sur les Bords de Seine. Elle compromettra la qualité de vie de tous, nouveaux habitants compris, habitants des villes voisines aussi et marquera à jamais bien sûr, les générations à venir. ❌ NON à l’augmentation de trafic sur le pont du Maréchal Juin qui enjambe la Seine et qui est déjà engorgé (+ 20 000 véhicules/jour) ❌ NON à la création d’une cité de 805 logements sur cet emplacement (15% de population en plus) sur une ville de 15000 habs déjà asphyxiée ❌ NON à cette fausse réhabilitation en totale contradiction avec les mesures de transition écologique actuelles …. Un aveuglement coupable ! Seul un AJOURNEMENT avec toutes les parties concernées, doit permettre d’élaborer un vrai projet « Bords de Seine » VIABLE pour tous les habitants du territoire. NOTRE DEMANDE L’opération purement immobilière est inacceptable. Elle fait fi des enjeux climatiques et implique plusieurs dizaines de milliers d’habitants sur notre bassin de vie : St-Fargeau-Ponthierry, Boissise-la-Bertrand, Boissise-le-Roi, Cesson, Pringy, St Leu, Seine-Port, etc… 📣 Nous appelons chacun au plus haut niveau à mesurer les conséquences de décisions sans retour en occultant nos obligations environnementales * et règlementaires. 📣 Nous demandons, à l’état, à la région, au département, à la municipalité que soit organisé un débat citoyen pour un projet équilibré entre le respect de l’environnement, la qualité de vie des populations et les contraintes financières En apportant vos signatures de soutien à notre action vous donnez du poids pour permettre de bloquer une décision préjudiciable en l’état. Pour plus de détails visitez notre site (https://www.ademaj-77310.fr/actualite/) *L’état français a été condamné pour inaction climatique (L’affaire du siècle), par cohérence ne permettons pas que s’installent des opérations locales qui viennent avec certitude contribuer au réchauffement climatique. LOCAL ET NATIONAL MÊME COMBAT. SAINT-FARGEAU-PONTHIERRY : TOUT BETON PAS QUESTION ! https://www.greenvoice.fr/assets/uploads/2023/02/petition-greenvoice-saint-ponthierry.png
    4 426 sur 5 000 Signatures
    Créée par ADEMAJ p. Picture
  • Aéroport de Beauvais : Urgence d'un véritable débat public
    Je suis un père de famille, de retour depuis 2021 à Beauvais, ville qui m’a vu naitre et grandir. Avant d'arriver ici, j'ai vécu 3 ans dans le couloir aérien de l'aéroport de Roissy. J’ai fui. Ce que j’ai vécu là-bas, je ne veux plus jamais le revivre et je ne le souhaite à personne. Réveil à 4h du matin par les premiers avions de nuit, impossibilité de profiter des extérieurs la journée, revente de biens immobiliers très difficiles. Mon expérience m’oblige, simple citoyen, à prendre position et vous inviter à la réflexion. ⏱️ POURQUOI FAUT-IL AGIR MAINTENANT ? La concession de l’exploitation de l’aéroport arrive à échéance. L’appel d’offre est lancé. A ce jour il nous reste moins de 7 mois pour stopper la machine. 👉 L’EQUIVALENT DE L’AEROPORT DE NANTES Quelle que soit votre position concernant l’aéroport, savez-vous vraiment quelles sont les prochaines étapes ? L’appel d’offre en cours prévoit d’investir de manière massive dans des infrastructures permettant de doubler le nombre de mouvements pour arriver A 50 000 MOUVEMENTS PAR AN, SOIT L’EQUIVALENT DU TRAFIC DE L’AEROPORT DE NANTES ! Nantes est un aéroport régional. Il permet de connecter l’ouest au reste de la France et à l'international. 👉 LE TRAFIC DOUBLE, LES EMPLOIS DOUBLENT ? PAS SI VITE ! S’il était question d’amener Air France ou tout autre compagnie prestigieuse, alors ce serait sûrement vrai. Le terminal se verrait alors doter de services générant un emploi durable, valorisant, qualifié. Mais ici il s’agit de low-cost, et son modèle est aux antipodes : pas de boutique, pesée des valises par les clients eux-mêmes, pas de restaurant, ni aucun autre service annexe. Seuls les emplois absolument incontournables existent, et ceux-ci n’augmentent bien évidemment pas proportionnellement aux passagers. 👉 LE COUVRE-FEU : UNE PROTECTION THEORIQUE ! L’effet d’un couvre-feu, c’est : encore plus d’avions juste avant et encore plus d’avions juste après. C’est insupportable. Ça vous réveille tôt tous les matins, et ça vous gâche les soirées d’été dans le jardin ou sur la terrasse ou tout simplement avec les fenêtres ouvertes. 👉 DES GROS SOUS, MAIS PAS POUR NOUS ! Ce projet, c’est 4 milliards d’investissement privé sur 30 ans. Les milliards c’est abstrait pour nous, mais concrètement c’est 33 fois le budget de la ville de Beauvais. Tous les ans pendant 30 ans, l’équivalent du budget de la ville va être dépensé pour exploiter cet aéroport. Mais ne vous y trompez pas, cet investissement ne vous profitera pas ! (C’est normal pourriez-vous penser, cet investissement est privé...) Mais en revanche, nous sommes et serons toujours mis à contribution. Car si l’investissement et ses retombées sont privées, la dépense publique existe déjà ! En effet, nous payons déjà aujourd’hui par des deniers publics, la quasi-gratuité des services aéroportuaires accordés aux compagnies. Ces pratiques ayant eu lieu par le passé ont été dénoncées dans le rapport de la cour des comptes du 10 février 2017*. Quel bénéfice pour le Beauvaisis ? 👉LA POLLUTION DE L'AIR QUE NOUS RESPIRONS ! La publicité réalisée autour de cet aéroport semble vouloir distiller l'image d'un aéroport "propre", il a même été décrit "aéroport écologique"! Mais ne vous y trompez pas, un aéroport n'est pas et ne peut pas être écologique. L'émission de CO2 résultante de l'activité de l'aéroport de Beauvais est équivalente à celle de la ville de Beauvais ! Doubler le trafic, c'est doubler ces émissions. 📣 Il est temps d’exiger un débat public ! Que souhaitons-nous pour notre avenir et celui de nos enfants ? Face aux défis écologiques dont nous avons à présent tous conscience, assumons-nous le modèle ici développé ? Si nous ne faisons rien, nous admettons une augmentation des dépenses en vue du développement d'un modèle qui dégrade notre environnement (pollution, bruit), qui ne favorise pas l'humain (recherche de rentabilité maximale), et dépréciera encore plus la valeur de nos biens immobiliers. Que se passera-t-il si les compagnies ne souhaitent plus travailler avec cet aéroport (par exemple, si le kérozène devenait trop cher) ? Qui supporterait l'énorme perte financière que cela représenterait ? Il nous faut du temps pour répondre à ces questions! 🖊️ SIGNEZ LA PETITION ! *https://www.ccomptes.fr/system/files/2018-09/20170619-refere-gestion-aeroport-beauvais.pdf
    5 825 sur 6 000 Signatures
    Créée par Sauver le beauvaisis
  • NOUVEAU NUCLÉAIRE :NON À L’IMPLANTATION D’EPR2 AU TRICASTIN, ZONE SISMIQUE ACTIVE
    Est-il bien raisonnable qu’EDF veuille implanter deux EPR 2 au TRICASTIN , situé en zone sismique ? Le risque existe déjà avec les 4 réacteurs actuels , pourquoi vouloir le prolonger encore pendant 40 ou 50 ans supplémentaires ? CONTEXTE : la digue du canal de Donzére-Mondragon qui refroidit les réacteurs est en terre, elle a résisté en 2019 à un tremblement de terre de force 5,4 sur l’échelle de Richter , mais qui nous dit qu’elle résisterait à un nouveau séisme de force 7 ? De plus la digue du canal de Donzére-Mondragon est une digue en terre fragilisée qui à été réparée par EDF en 2017 (4 réacteurs à l’arrêt pendant 3 mois à la demande de l’ASN) de façon incomplète puisque l’ASN à demandé que ces travaux soient repris et completés avant fin 2022 (les travaux viennent juste de s’achever). La centrale est en contre-bas du canal, à 6m en dessous du plan d’eau , en cas de rupture de la digue ce sont des milliers de m3/s d’eau qui débouleraient sur la centrale , les 4 réacteurs seraient noyés et nous serions potentiellement dans la même situation qu’à FUKUSHIMA. Et ce n’est pas une vue de l’esprit, un délire de militants écologistes, ce risque est aussi admis par l’ancien président de l’ASN (2012-2018) Pierre Franck Chevet dont voici la déclaration sur Tricastin lors d’une interwiew en 2018 cité dans le livre de Thierry Gadault et Hugues Demeude, NUCLÉAIRE, DANGER IMMÉDIAT : “En cas de séisme fort on pourrait aller vers une situation avec 4 réacteurs simultanés en fusion , qui ressemble potentiellement à un accident de type Fukushima.” NOUS REFUSONS UNE TELLE PRISE DE RISQUES POUR LA POPULATION NOUS DISONS STOP, PAS D’EPR2 À TRICASTIN NI AILLEURS
    6 630 sur 7 000 Signatures
    Créée par Collectif Stop Tricastin
  • Mauvaise qualité de l'air à Rouen et en Normandie
    Lors des pics de pollution, on a les yeux irrités, le brouillard est jaune sur la métropole. La respiration est difficile. Si les dégazages des usines étaient interdits lors des pics de pollution, cela éviterait de rajouter à la pollution dûe au chauffage et aux transports. Malgré les vignettes Crit'Air, et les efforts de baisse de chauffage des particuliers, les entreprises doivent faire leur part en n'ajoutant pas de pollution chimique supplémentaire. Par ailleurs, Atmo Normandie ne teste que 4 polluants dont ozone et microparticules de moins de 10 microns et moins de 2,5 microns (ceux qui vont dans le sang sans être filtrés par les poumons). Les polluants émis par les incendies d'usine et d'entrepôt ne sont pas détectés par Atmo Normandie. Pour les capteurs, la qualité de l'air est .. normale. Afin de garantir la santé et la sécurité de la population, il apparait nécessaire de tester d'autres polluants.
    108 sur 200 Signatures
    Créée par Marie Agnès W.
  • [Annonay Rhône Agglo] Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger, en particulier, nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement ne prévoit l’interdiction des publicités lumineuses qu'entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique - et pour une sobriété durable - est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin en créant un règlement local de publicité prônant la sobriété et ainsi montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre agglomération doit prendre les mesures suivantes de manière urgente. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires ou d'informations municipales lumineux ou rétro-éclairés - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture - La nécessité de poursuivre la réduction de l’éclairage public 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre et respecter les accord de Paris en limitant le réchauffement global en dessous de 1,5 / 2 °C. 🌟 Notre agglomération aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Pétition initiée par Alternatiba Annonay, avec le soutien de l’ASNA (AstroSciences Nord-Ardèche) Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    158 sur 200 Signatures
    Créée par Antoine V.
  • Martinique, Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre île doit prendre les mesures suivantes de manière urgente. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines, des écrans, enseignes lumineuses et climatiseurs dès la fermeture du magasin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - Une meilleure gestion de l'utilisation de la climatisation dans les espaces publics (arrêter de climatiser portes ou fenêtres ouvertes) - L’extinction des lumières et climatiseurs des bureaux dès leur fermeture - L’extinction des lumières et climatiseurs des bâtiments administratifs dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. Des villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre île aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    228 sur 300 Signatures
    Créée par Greenpeace Martinique
  • FC Nantes : faites mieux que le PSG, prenez le train !
    L’année 2022 a été marquée par une forte augmentation des signaux du changement climatique en cours : rien qu’en France, on peut évoquer la sécheresse, les canicules à répétition, les températures anormalement élevées cet hiver. Face à cette réalité climatique, chaque kilo de gaz à effet de serre (GES), chaque dixième de degré de réchauffement compte. Ainsi, en réponse au gaspillage énergétique du PSG en septembre dernier, il nous paraît important que le FC Nantes se penche concrètement sur les modes de déplacement de son équipe professionnelle. Le char à voile n’est sans doute pas la meilleure solution. Mais le train, le car, sont des alternatives parfaitement réalistes pour ce trajet, et considérablement moins émettrices en GES. Ceci n’est pas que symbolique : en avion de ligne, déplacer 50 personnes sur ce trajet aller-retour revient à émettre 4,8 tonnes de CO2 (1). Dans le cadre d’un vol privé, la facture climatique est nettement plus lourde. Pour ce même trajet en TGV, c’est 67 kg de CO2 (soit 0,067 tonnes) qui seraient émis au total… (2) Alain Krakovitch, le directeur TGV/intercités, a rappelé lors de la polémique de septembre qu’il existe de nombreuses solutions pour que l’équipe professionnelle puisse se déplacer en train. La crise climatique touchant de plus en plus de personnes, y compris au sein des supporters et supportrices, le FC Nantes a une belle opportunité de devenir un leader inspirant sur ces sujets, à l’instar du Milan AC ou de Liverpool qui font certains de leurs déplacements en train. Ce serait aussi un signal fort de la part du monde sportif que d’agir concrètement pour une mobilité durable lors des compétitions. D’autres actions peuvent être envisagées en parallèle, telle que la facilitation du covoiturage pour les supporters-supportrices, grâce aux partenariats signés par de nombreux clubs avec StadiumGO. Il n’y a pas de planète B ; il n’y aura plus de matchs de foot sur une planète morte. Signez et partagez cette pétition pour demander au FC Nantes de se déplacer en train le 4 mars ! #4MarsEnTrain Sources : (1) https://eco-calculateur.dta.aviation-civile.gouv.fr/ (2) https://ressources.data.sncf.com/explore/dataset/emission-co2-tgv/table/
    11 433 sur 15 000 Signatures
    Créée par Alternatiba Nantes _. Picture