• NOUVEAU NUCLÉAIRE :NON À L’IMPLANTATION D’EPR2 AU TRICASTIN, ZONE SISMIQUE ACTIVE
    Est-il bien raisonnable qu’EDF veuille implanter deux EPR 2 au TRICASTIN , situé en zone sismique ? Le risque existe déjà avec les 4 réacteurs actuels , pourquoi vouloir le prolonger encore pendant 40 ou 50 ans supplémentaires ? CONTEXTE : la digue du canal de Donzére-Mondragon qui refroidit les réacteurs est en terre, elle a résisté en 2019 à un tremblement de terre de force 5,4 sur l’échelle de Richter , mais qui nous dit qu’elle résisterait à un nouveau séisme de force 7 ? De plus la digue du canal de Donzére-Mondragon est une digue en terre fragilisée qui à été réparée par EDF en 2017 (4 réacteurs à l’arrêt pendant 3 mois à la demande de l’ASN) de façon incomplète puisque l’ASN à demandé que ces travaux soient repris et completés avant fin 2022 (les travaux viennent juste de s’achever). La centrale est en contre-bas du canal, à 6m en dessous du plan d’eau , en cas de rupture de la digue ce sont des milliers de m3/s d’eau qui débouleraient sur la centrale , les 4 réacteurs seraient noyés et nous serions potentiellement dans la même situation qu’à FUKUSHIMA. Et ce n’est pas une vue de l’esprit, un délire de militants écologistes, ce risque est aussi admis par l’ancien président de l’ASN (2012-2018) Pierre Franck Chevet dont voici la déclaration sur Tricastin lors d’une interwiew en 2018 cité dans le livre de Thierry Gadault et Hugues Demeude, NUCLÉAIRE, DANGER IMMÉDIAT : “En cas de séisme fort on pourrait aller vers une situation avec 4 réacteurs simultanés en fusion , qui ressemble potentiellement à un accident de type Fukushima.” NOUS REFUSONS UNE TELLE PRISE DE RISQUES POUR LA POPULATION NOUS DISONS STOP, PAS D’EPR2 À TRICASTIN NI AILLEURS
    6 631 sur 7 000 Signatures
    Créée par Collectif Stop Tricastin
  • Mauvaise qualité de l'air à Rouen et en Normandie
    Lors des pics de pollution, on a les yeux irrités, le brouillard est jaune sur la métropole. La respiration est difficile. Si les dégazages des usines étaient interdits lors des pics de pollution, cela éviterait de rajouter à la pollution dûe au chauffage et aux transports. Malgré les vignettes Crit'Air, et les efforts de baisse de chauffage des particuliers, les entreprises doivent faire leur part en n'ajoutant pas de pollution chimique supplémentaire. Par ailleurs, Atmo Normandie ne teste que 4 polluants dont ozone et microparticules de moins de 10 microns et moins de 2,5 microns (ceux qui vont dans le sang sans être filtrés par les poumons). Les polluants émis par les incendies d'usine et d'entrepôt ne sont pas détectés par Atmo Normandie. Pour les capteurs, la qualité de l'air est .. normale. Afin de garantir la santé et la sécurité de la population, il apparait nécessaire de tester d'autres polluants.
    108 sur 200 Signatures
    Créée par Marie Agnès W.
  • [Annonay Rhône Agglo] Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger, en particulier, nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement ne prévoit l’interdiction des publicités lumineuses qu'entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique - et pour une sobriété durable - est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin en créant un règlement local de publicité prônant la sobriété et ainsi montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre agglomération doit prendre les mesures suivantes de manière urgente. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires ou d'informations municipales lumineux ou rétro-éclairés - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture - La nécessité de poursuivre la réduction de l’éclairage public 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre et respecter les accord de Paris en limitant le réchauffement global en dessous de 1,5 / 2 °C. 🌟 Notre agglomération aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Pétition initiée par Alternatiba Annonay, avec le soutien de l’ASNA (AstroSciences Nord-Ardèche) Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    158 sur 200 Signatures
    Créée par Antoine V.
  • Martinique, Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre île doit prendre les mesures suivantes de manière urgente. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines, des écrans, enseignes lumineuses et climatiseurs dès la fermeture du magasin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - Une meilleure gestion de l'utilisation de la climatisation dans les espaces publics (arrêter de climatiser portes ou fenêtres ouvertes) - L’extinction des lumières et climatiseurs des bureaux dès leur fermeture - L’extinction des lumières et climatiseurs des bâtiments administratifs dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. Des villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre île aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    228 sur 300 Signatures
    Créée par Greenpeace Martinique
  • FC Nantes : faites mieux que le PSG, prenez le train !
    L’année 2022 a été marquée par une forte augmentation des signaux du changement climatique en cours : rien qu’en France, on peut évoquer la sécheresse, les canicules à répétition, les températures anormalement élevées cet hiver. Face à cette réalité climatique, chaque kilo de gaz à effet de serre (GES), chaque dixième de degré de réchauffement compte. Ainsi, en réponse au gaspillage énergétique du PSG en septembre dernier, il nous paraît important que le FC Nantes se penche concrètement sur les modes de déplacement de son équipe professionnelle. Le char à voile n’est sans doute pas la meilleure solution. Mais le train, le car, sont des alternatives parfaitement réalistes pour ce trajet, et considérablement moins émettrices en GES. Ceci n’est pas que symbolique : en avion de ligne, déplacer 50 personnes sur ce trajet aller-retour revient à émettre 4,8 tonnes de CO2 (1). Dans le cadre d’un vol privé, la facture climatique est nettement plus lourde. Pour ce même trajet en TGV, c’est 67 kg de CO2 (soit 0,067 tonnes) qui seraient émis au total… (2) Alain Krakovitch, le directeur TGV/intercités, a rappelé lors de la polémique de septembre qu’il existe de nombreuses solutions pour que l’équipe professionnelle puisse se déplacer en train. La crise climatique touchant de plus en plus de personnes, y compris au sein des supporters et supportrices, le FC Nantes a une belle opportunité de devenir un leader inspirant sur ces sujets, à l’instar du Milan AC ou de Liverpool qui font certains de leurs déplacements en train. Ce serait aussi un signal fort de la part du monde sportif que d’agir concrètement pour une mobilité durable lors des compétitions. D’autres actions peuvent être envisagées en parallèle, telle que la facilitation du covoiturage pour les supporters-supportrices, grâce aux partenariats signés par de nombreux clubs avec StadiumGO. Il n’y a pas de planète B ; il n’y aura plus de matchs de foot sur une planète morte. Signez et partagez cette pétition pour demander au FC Nantes de se déplacer en train le 4 mars ! #4MarsEnTrain Sources : (1) https://eco-calculateur.dta.aviation-civile.gouv.fr/ (2) https://ressources.data.sncf.com/explore/dataset/emission-co2-tgv/table/
    11 433 sur 15 000 Signatures
    Créée par Alternatiba Nantes _. Picture
  • Touche pas ma rivière le Garon à Brignais !
    Brignais Scandale dans la vallée de Barret - pétition Pourquoi détruire la si belle vallée de Barret à Brignais, merveilleux lit du Garon ? Ce que le SMAGGA et la Mairie de Brignais nous préparent….. Un gros ouvrage : « un barrage écrêteur de crues » joli nom pour un ouvrage en argile et en béton d’une hauteur de 7 à 8 mètres minimum, pierres et autres tuyaux, eaux stagnantes et tout ce que cette construction va générer ! Cet ouvrage sera construit vers le Chemin du Gué, dans le pré et s’étalera du lit du Garon jusqu’au Chemin de Barret. Ce qui en plus de toutes les nuisances, coupe une propriété en deux parties et ce, à 100 m des habitations, sur 7 ou 8 mètres de haut, donc plus de vues sur la vallée pour les habitants. Pour ce faire : - il faut réaliser beaucoup de sondages, de fouilles avec pelles mécaniques à 4 mètres de profondeur et des sondages carottés à plus de 15 mètres de profondeur. -La nappe phréatique va être polluée par tous ces travaux ; de plus une colonne d’eau potable traverse le terrain sur lequel seront faits les travaux. -Ce chantier semble largement démesuré par rapport aux éventuelles crues centennales ou millénaires du Garon, coût estimé en dizaines de millions d’euros !! - Les fautifs , ce sont ceux qui ont délivré des permis de construire en zones inondables ! -Dans la « Vallée de Barret », il y a aussi beaucoup de faune, de flore, de beaux arbres centenaires, de nombreux insectes sur les berges du Garon, des oiseaux d’espèces protégées, des écureuils, des chevreuils…sans compter tous ceux que nous découvrons au cours des balades dans cette belle vallée, ESPACE NATUREL SENSIBLE ! - Après le passage de nombreux camions, pelles mécaniques et autres engins avec des chenilles, ce sera un champ de ruines, de boues, de cailloux et de déchets en tous genres ! ( Voir le projet du SMAGGA en détail : https://drive.google.com/file/d/1o95yx8i3qKBIinY67oxC_aWfsa-zA1ig/view?usp=sharing ) Ne faut-il pas commencer par entretenir sérieusement le lit du Garon et ses berges avant d’entreprendre de tels travaux ? Sachant que la Commune de Chaponost a refusé ce projet pour protéger la faune, la flore et le saccage de tout l’environnement, pourquoi ce projet continue-t-il en le déplaçant plus loin dans la vallée, chez des particuliers dont les habitations sont très proches de cet ouvrage? Ne laissons pas massacrer cette belle vallée de Barret, ENS(espace naturel sensible), et patrimoine exceptionnel « Aqueduc du Gier », sans oublier que la Vallée de Barret constitue un des poumons verts de la Région Rhône-Alpes! Des solutions alternatives aux barrages écrêteurs ont été testées avec succès en Slovaquie, en Norvège et ailleurs : de petites barrières en bois sur les bassins versants, bien en amont, limitent le ravinement, les éboulements et permettent d’hydrater les zones hautes. Et pas que ces petites barrières ! De nombreuses autres solutions existent pour ralentir l'eau en amont, retenir les sédiments et les embâcles, permettre à la végétation de retrouver son pouvoir de régénération, d'évapotranspiration... pour adoucir le climat !
    2 891 sur 3 000 Signatures
    Créée par Thérèse A.
  • Exigeons un véritable étiquetage environnemental des produits alimentaires
    Notre alimentation est à l’origine de nombreuses pressions sur l’environnement et représente 24 % de nos émissions de gaz à effet de serre. Il est donc urgent de faire évoluer notre alimentation. Les citoyens sont prêts à ce changement : 80 % disent vouloir consommer plus “responsable”. Mais comment changer ses choix alimentaires si nous ne savons pas quels produits sont durables ? Alors que 70 % des produits alimentaires sont vendus en grande surface, il est indispensable que leur emballage informe de leurs impacts sur l'environnement. Pour les produits d’origine animale, le mode d’élevage (cage, plein air, etc.) doit également être affiché, étant donné l’ampleur des nuisances écologiques et des atteintes au bien-être animal causées par les élevages intensifs. En 2023, le gouvernement va mettre en place un étiquetage des produits alimentaires sur leurs impacts environnementaux. Pourtant, alors que 96 % des Français y sont favorables, il n’est pour l’instant pas prévu d’indiquer le mode d’élevage. Pour que cet étiquetage environnemental ne soit pas une occasion manquée de répondre aux enjeux écologiques et aux attentes sociétales, le gouvernement va devoir faire preuve d’ambition et résister aux lobbies qui s’opposent à la transparence. En signant cette pétition, vous nous aidez à mettre la pression sur les pouvoirs publics pour que cet étiquetage : Soit compréhensible et affiché clairement sur l’emballage des produits alimentaires. Indique, pour les produits d’origine animale, le mode d’élevage, y compris pour les produits transformés (nuggets, pizzas, etc.). Intègre l’ensemble des enjeux environnementaux, en particulier le changement climatique et la biodiversité. Permette de différencier les produits d’une même famille (par exemple des tomates) lorsque leur mode de production est différent (avec ou sans pesticides, serres chauffées, etc.). Cette pétition est également soutenue par : Alerte des Médecins sur les Pesticides (AMLP), Alliance Santé Planétaire, Alofa Tuvalu, Association Santé Environnement France (ASEF), Bio Consom’acteurs, Collectif En Vérité, Collectif National des Associations d’Obèses (CNAO), myLabel, Observatoire National des Alimentations Végétales (ONAV), Réseau Environnement Santé, VRAC France, Terre & Humanisme, Bee friendly, Déclic, Let's Food, Oxfam France, WECF France, Lobby des Consciences, Résistance à l'Agression Publicitaire (RAP), Générations futures, Noé, MIRAMAP, Fédération française des diabétiques, Bon pour le climat, Fédération nationale d'éducation et de promotion de la santé, Réseau Étudiant pour une Société Écologique et Solidaire (RESES), CMR – Chrétiens dans le monde rural, Assiettes végétales, Fédération Nationale d'Agriculture Biologique (FNAB), Les Amis de la Terre.
    85 825 sur 100 000 Signatures
    Créée par Réseau Action Climat, Agir pour l'environnement, CIWF France, France Nature Environnement, Greenpeace France Picture
  • Non au giga entrepôt Bardinet!
    Dans un contexte de dérèglement systémique où les conditions d habitabilité de notre planète sont tout simplement menacées ( effondrement de la biodiversité, pollution des sols, de l air, de l eau, dérèglement climatique. ..) il nous semble important de nous impliquer au moins au niveau local, de résister à la destruction des espaces naturels autour de chez nous Nous avons tous besoin de cette nature, d "ilots de fraicheur" comme on appelle désormais les espaces boisés alors que l'été dernier fut caniculaire, tout comme il sera vital de conserver des sols, des zones humides, de possible champs pour une activité vivrière... L'installation d'un tel entrepôt, de son flot de poids lourds, des autres qui suivront sur cette zone vont à l'encontre du bon sens. Désirons nous que nos campagnes deviennent de vulgaires Zones d"activités, recouvertes de goudron et de hangars? Nous exigeons donc l'annulation de ce projet dévastateur, qui semble se préparer en toute discrétion. Il y a urgence à réagir, le début des travaux de "construction" (ou plutôt de destruction) est prévu au premier semestre 2023 ! Nous y sommes !
    2 683 sur 3 000 Signatures
    Créée par Mathieu V.
  • Soutenez-nous dans notre lutte contre un massacre écologique
    Stop au massacre de la biodiversité dans le Pilat ! Fermeture de la carrière des Gottes à Saint-Julien-Molin-Molette ! Nous sommes nombreu.x.ses à lutter contre le carnage engendré par cette carrière ; Une association, un collectif, la municipalité du village et le Parc naturel régional du Pilat. Cela fait 50 ans que St-Julien-Molin-Molette contribue à l’enrichissement d'une société privée – Delmonico-Dorel - en sacrifiant sa sécurité, avec un passage de camions violent et incessant ; sa tranquillité, avec des explosions, des tirs de mines, le bruit insupportable du concasseur ; sa santé, avec un impact sur la ressource en eau, la présence de poussières contenant du radon (son taux d’uranium 238 est élevé, [cf expertise CRIIRAD n17-61 et norme Euratom 2013/59]), les fissures dans les maisons ; son paysage avec une montagne défigurée par l’appétit toujours plus grandissant de cet industriel. A l’heure où nos dirigeants parlent de conscience écologique, de sobriété, comment se fait-il que la préfecture de la Loire soutienne la destruction de l’habitat de 43 espèces menacées et le développement d'une zone d’exploitation qui représenterait 38 hectares dans un parc naturel ! STOP AU MEPRIS ! LA JUSTICE NOUS DONNE RAISON ! Le 28/02/22 le tribunal administratif de Lyon a jugé illégal l’arrêté d’exploitation de janvier 2020 autorisant l’extension de l’exploitation, pour ces raisons : • Le service général rendu ne justifie pas la destruction d’espèces protégées ; • Le réseau routier est inadapté et inadaptable à un tel trafic de poids lourds. • Sa roche n’a pas de qualité exceptionnelle ; • Elle ne génère pas suffisamment d’emplois face aux nuisances qu’elle engendre. La carrière s’est arrêtée quelques jours… Mais hélas ! Le 21 mars 2022 un nouvel arrêté de la préfecture caché derrière une mise en demeure permet le redémarrage de l'exploitation avec toutefois quelques restrictions et obligations. Nous avons également dénoncé cet arrêté qui fait fi sur le fond du jugement du 28 février 22. Aujourd’hui, l’industriel dépose une nouvelle demande d’autorisation, avec de petits aménagements ridicules qui ne dupent personne, car elle masque grossièrement une exploitation et des préjudices identiques à celle rejetée. Désormais nous attendons le jugement en appel, et une énième enquête publique ! En signant cette pétition aidez-nous à faire entendre notre voix, pour que soient respectées par l'Etat et par la préfecture de la Loire la démocratie locale, les chartes environnementales et a fortiori les décisions de justice. Plus d’info sur : https://stopcarriere.noblogs.org/
    3 024 sur 4 000 Signatures
    Créée par Collectif contre l'extension de la carrière St-Julien-Molin-Molette Picture
  • Un espace vert pour les enfants des écoles à Malissard !
    A l’heure du changement climatique, il est urgent de protéger au mieux les espaces naturels au centre des villages pour avoir des îlots de fraicheur et pour absorber le CO2. Ces terrains de pétanque peuvent être implantés sur des terrains déjà artificialisés autour de la salle des fêtes. La Mairie voulait d'ailleurs vendre l'espace vert sans l'artificialiser. Ici c’est urgent, les pelleteuses doivent arriver dans les prochaines semaines… Les enfants, vous pouvez signer cette pétition puisque vous êtes les premiers concernés, mais n’oubliez pas de faire signer vos parents ! Nous devons convaincre la Mairie de Malissard de sauver cet espace vert et de l’aménager pour vous !
    400 sur 500 Signatures
    Créée par Jean-Claude L.
  • Bourg-en-Bresse : Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes. Aussi, l’effort ne doit pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger nos usages de la publicité superflue ! ⚡️ Alors que le gouvernement prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    80 sur 100 Signatures
    Créée par Carine B.
  • Mourenx : Stop au gaspillage énergétique !
    À l’heure où l’on nous appelle, collectivement et individuellement, à faire des efforts sur notre consommation énergétique pour éviter les pénuries, nous ne comprenons pas que perdure autant de gaspillage d’électricité dans l’espace public. L’effort fourni doit être réparti de façon juste et ne pas peser uniquement sur les citoyens et citoyennes, ne pas affecter en premier lieu des services publics essentiels comme l’éducation ou le sport, mais bien commencer par interroger les usages de la publicité, qui sont superflus ! ⚡️ Même si la loi prévoit l’interdiction des publicités lumineuses entre 01H00 et 06H00 du matin (à l'exception des aéroports, gares ou stations de métro), cette mesure est peu appliquée et loin d’être suffisante face au nombre croissant de ces panneaux inutiles qui n’apportent rien au confort de la population et servent des intérêts purement économiques, encourageant très souvent des pratiques de consommation qui vont à l’encontre de la sobriété. ⚡️ Sur une année, un écran publicitaire de 2m2 consomme en moyenne l’équivalent des besoins d’ un ménage français pour l’éclairage et l'électroménager* : laisser tous ces écrans allumés en période de crise énergétique est donc absurde ! Notre territoire a le pouvoir d’aller plus loin à travers le règlement local de publicité et de montrer l’exemple pour être à la hauteur des enjeux. Notre ville doit prendre les mesures suivantes de manière urgente, et sans attendre le pic de l’hiver où les tensions énergétiques se feront ressentir. 🛑👉Nous demandons : - L’extinction des panneaux lumineux et écrans publicitaires en continu, (et pas uniquement de 1h à 6h du matin) - L’extinction des vitrines et enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin, et pas uniquement de 1h à 6h du matin - L’arrêt de l’installation de nouveaux panneaux publicitaires lumineux ou rétro-éclairés - Une meilleure gestion de l’éclairage public - L’extinction des lumières des bureaux dès leur fermeture - L'abaissement de la température de chauffage dans les locaux administratifs de la Ville et de la CCLO à 19°, comme prévu par le Code de l'Energie 💡 De plus, nous demandons à ce que ces mesures soient pérennisées au-delà de la période de tension hivernale, afin d’enclencher le virage sociétal nécessaire pour atteindre nos objectifs nationaux de réduction d’émissions de gaz à effet de serre et de réduction des conommations d'énergie. D’autres villes comme Lyon ou Paris ont déjà mis en place des mesures plus fortes pour réduire leur consommation énergétique et s’inscrire dans le sens d’une sobriété choisie et responsable. 🌟 Notre ville aussi doit s’inscrire dans le sens de l’Histoire et mettre en place des solutions ambitieuses ! Source : *Selon l’Ademe, la consommation annuelle d’un panneau publicitaire de 2m2 serait d’environ 2000 kWh par an. Selon l’Agence Française de l’Energie, la consommation annuelle d’un ménage serait comprise entre 1500 et 2200 kWh (hors chauffage et eau chaude, selon la superficie du logement et le nombre d’occupants du foyer)
    56 sur 100 Signatures
    Créée par Marie-Laure L.