Cantine Verte

Les jeunes mangent au moins 2 fois trop de viande à la cantine. Une aberration dangereuse pour leur santé, mais aussi dévastatrice pour la planète.

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Campagnes (55)

  • Paris
    Paris : pour des repas sains à la cantine !
    Aujourd'hui en France, les enfants comme les adultes consomment deux fois trop de protéines. A l'école, rien que pour le déjeuner, la viande et les produits laitiers servis représentent à eux seuls entre 200 et 400% des apports en protéines conseillés par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (ANSES). Suite à ce constat nous avons découvert que des représentants de l’industrie et des filières viande et lait prennent part à la rédaction des recommandations nutritionnelles adressées aux gestionnaires de cantine. Ne nous laissons pas dicter le contenu des assiettes de nos enfants par les lobbies ! La consommation excessive de protéines animales favorise le surpoids chez l’enfant et peut avoir des conséquences négatives sur sa santé à l’âge adulte : plusieurs études associent la consommation de viande rouge ou transformée à une augmentation du risque de mortalité liée à une maladie cardiovasculaire ou un cancer. A l’inverse une alimentation végétale ferait diminuer ces risques. Outre cette question de santé publique, c’est une question de santé planétaire : déforestation, perte de la biodiversité, pollution des sols et des eaux, etc. Notre alimentation impacte l’environnement et le climat bien plus qu’on ne le croit. L’élevage représente plus de 14 % des émissions globales de gaz à effet de serre, ce qui est comparable aux émissions du secteur des transports. Il est grand temps d’agir ! Végétaliser les menus des cantines, c’est : - favoriser une alimentation équilibrée en accord avec les recommandations scientifiques nutritionnelles, - assurer aux enfants une bonne santé, - réduire notre empreinte écologique. Diminuer la quantité de viande peut également permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence de substituer des produits industriels à bas prix par des produits de qualité, bio et éco-responsables, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Le Plan Alimentation Durable de la ville de Paris, et la loi Agriculture et Alimentation qui a été votée en septembre à l’Assemblée nationale et qui instaure un repas végétarien par semaine dans les cantines, ont montré une prise de conscience généralisée des effets néfastes de la production industrielle de viande et de la surconsommation de produits carnés. Néanmoins, ces textes parlent d’expérimentation et ne sont pas toujours contraignants. Si nous voulons agir pour la transition de nos modèles agricoles et alimentaires, il nous faut miser sur le courage et l’engagement de nos décideurs locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants en allant plus loin que le cadre réglementaire, comme c’est le cas à Lille et Grenoble, qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. N’attendez plus, notre capitale doit être exemplaire en la matière, nous pouvons être un modèle à suivre ! Avec plus de 22 millions de repas servis chaque année dans la restauration scolaire, Paris peut, grâce à votre action, jouer un rôle moteur dans la lutte contre le réchauffement climatique et pour une meilleure qualité alimentaire ! Cette pétition a été créée par le Groupe Local de Greenpeace Paris
    4 181 sur 5 000 Signatures
    Créée par Groupe local Greenpeace de Paris
  • Nantes
    Nantes : pour une cantine responsable envers la santé des enfants et l’environnement
    Madame Le Maire, « L’alimentation est devenue un enjeu citoyen » (1) disiez-vous dans la presse en septembre dernier. Alors que la cantine centrale de Nantes est actuellement en travaux pour faire face au nombre croissant de repas à servir aux écoles (18 000 repas), nous souhaitons remettre au cœur du débat des questions de santé publique et de respect de l’environnement. « Le projet alimentaire territorial de la Métropole nantaise, l’éducation et la sensibilisation à une alimentation saine, respectueuse de l’environnement et créatrice d’emplois locaux sont des actions prioritaires » (1) affirmez-vous dans ce même entretien. Or nous constatons que plusieurs méthodes de production et de service au sein de la restauration scolaire prennent insuffisamment en compte ces questions, et il nous semble urgent d’y remédier. Des groupes de travail viennent d’être mis en place entre équipes municipales, citoyens et spécialistes, auxquels nous prenons part.Nous souhaitons toutefois alerter et mobiliser plus largement sur les points suivants : 1/ Du plastique pour cuire, réchauffer et servir les repas : une aberration sanitaire Les repas des enfants accueillis en crèche* et en école maternelle et primaire sont cuits pendant 24 à 48h dans des poches** en plastique avant d’être conditionnés dans du plastique, stockés 3 à 5 jours puis réchauffés et servis là encore dans des récipients en plastique. Nous connaissons aujourd’hui les risques liés aux perturbateurs endocriniens et substances éventuelles qui migrent de l’emballage plastique vers les aliments, et on ne compte plus le nombre d’études qui incriminent le plastique dans des problèmes de santé publique. Nous invitons la Ville de Nantes à s’informer sur ces pollutions et à prévenir les risques évoqués. L’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES), le Réseau Environnement Santé, l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) (2) … : tous alertent sur les dangers liés à l’utilisation du plastique en contact avec les aliments. Même s’il est encore difficile de prouver la toxicité de certains composés - puisque leurs effets se mesurent à long terme - il incombe aux pouvoirs publics d’appliquer un principe de précaution qui protège les enfants de telles expositions. Il semble aberrant que de telles méthodes subsistent au sein même d’une cantine municipale. Nous vous demandons donc d’étudier sans attendre des solutions alternatives à l’utilisation du plastique pour la préparation et le service des repas. 2/ Moins de déchets dans les cantines Les cantines produisent beaucoup de déchets, qu’ils soient plastiques (du fait des barquettes jetables utilisées) ou alimentaires avec les repas non consommés. En remplaçant le plastique par l’inox ou d’autres composants, on peut répondre en partie à ce problème. En valorisant le compostage ou le recyclage, Nantes irait encore plus loin dans sa politique publique de gestion des déchets, tout en participant à l’éducation environnementale de nos enfants et en limitant les coûts liés aux déchets produits. 3/ Des menus plus respectueux de l’environnement, pour une éducation pertinente au goût Nous souhaitons enfin aborder avec vous la question des menus et de la qualité des aliments proposés. En privilégiant des aliments issus de productions locales et d’agriculture biologique, la Ville de Nantes poursuivrait une politique cohérente sur la transition écologique et le soutien à de nouveaux modèles agricoles. Or la part de produits bio et locaux semble encore exagérément faible au sein des menus proposés par la cantine centrale (3). Nantes, capitale verte de l’Europe en 2013, pourrait avoir d’autres ambitions. Nous avons enfin une attention particulière sur la part de protéines animales proposée. L’ANSES recommande, pour un enfant de 25kg, des portions d’environ 22 grammes par jour (4). Greenpeace dresse, en parallèle, le constat d’une trop grande quantité de viande aux menus des cantines scolaires (5), et pointe du doigt des apports en protéines trop importants (cumul viande + laitages). Qu’en est-il dans les menus proposés à nos enfants ? Peut-on envisager, à Nantes, une cantine qui tienne compte des recommandations sanitaires nationales, et appuie une politique agricole plus respectueuse de l’environnement ? Peut-on imaginer une nouvelle forme d’alimentation en collectivité, plus diversifiée et de meilleure qualité ? « Il faut accélérer la mise en œuvre d’actions sur l’ensemble du système alimentaire pour aller vers le changement de modèle. » (1) Nous ne pouvons, encore une fois, que soutenir vos propos. Nous ne pouvons en effet attendre la mise en œuvre de la loi Agriculture et Alimentation à l’horizon 2025 concernant l’utilisation du plastique dans notre alimentation. Il nous faut également aller plus loin en termes de gestion de nos déchets et de qualité d’alimentation. Des villes ont déjà pris les devants et ouvert la voie vers des cantines sans plastique : Bordeaux, Strasbourg, Montpellier, les Sables d’Olonne (6). D’autres ont également démontré qu’il est possible de proposer essentiellement des produits locaux et bio, ou de limiter les protéines animales (7). Nous nous prenons à croire que Nantes ne restera pas en retard sur ces questions essentielles, et mettra en adéquation ses discours et ses actions. Nous veillerons à suivre les débats qui seront menés sur ces sujets, et à informer les signataires de ce manifeste des solutions qui seront proposées. Avec nos considérations les meilleures, Le collectif Cantine Responsable Nantes Parents d’élèves d’écoles maternelles et élémentaires de la Ville de Nantes
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    Créée par Le collectif Cantine Responsable Nantes
  • Bordeaux
    Cantines bordelaises : moins de protéines animales, plus de bio et de végétal !
    - Parce que la surconsommation de viande a des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…) , mais aussi sur la santé des enfants. - Une alimentation trop riche en graisses et en protéines animales peut entraîner une augmentation des maladies (obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires…). - La ville de Bordeaux l'a bien compris puisqu'elle propose tous les jours une alternative sans viande aux enfants et un repas végétarien obligatoire une fois par semaine. Malheureusement, l'alternative quotidienne est souvent composée de poisson et les océans ne sont pas moins menacés que nos sols et nos forêts. - Certaines méthodes de pêche sont dévastatrices tant pour l'environnement que pour l'emploi. COMMENT NOUS POUVONS LIMITER NOS IMPACTS ET AGIR CONCRÈTEMENT POUR LA PROTECTION DE NOTRE ENVIRONNEMENT? En demandant au Syndicat Intercommunal de Bordeaux et Mérignac, le SIVU, qui sert chaque jour plus de 20 000 repas dans les cantines bordelaises d’affirmer son exemplarité. Le SIVU doit mettre en place dès 2019 deux menus sans viande ni poisson par semaine, dont un composé de protéines végétales (céréales et légumineuses) et offrir aux enfants une viande 100% bio et locale.
    2 378 sur 3 000 Signatures
    Créée par Groupe Local de Greenpeace Bordeaux
  • Nice
    Urgence climatique : + de légumes et moins de viande dans les écoles niçoises !
    Votée en octobre 2018, la loi agriculture et alimentation prévoit l’instauration d’un repas végétarien ( sans viande ni poisson ) dans toutes les cantines scolaires à partir de novembre 2019. Vu l’urgence climatique et sanitaire, nous demandons à la mairie de Nice, signataire du pacte finances-climat, d’aller plus loin et de montrer l’exemple : 1/ Introduire deux repas végétariens par semaine à l’horizon 2020 Certaines communes montrent déjà la voie: Grenoble, Lille, Paris. Il est urgent de rééquilibrer l’apport en protéines. Les légumineuses, lentilles, pois chiches, etc. sont d’excellentes alternatives mais pour qu'elles soient pleinement adoptées par les enfants il faut savoir les cuisiner et former le personnel de cantine en ce sens et adapter les chaînes d’approvisionnement. Nous souhaitons également que la Végé-partie, une fois par mois, devienne 100% composée de protéines végétales à titre expérimental. 2/ Augmenter à 50% la part de bio d’ici fin 2020 La qualité des repas servis à la cantine peut encore être améliorée en favorisant le local et le bio, pour garantir une alimentation sans pesticides, sans OGM, sans additifs chimiques. De plus, la viande coûte cher. En consommer moins permet de dégager du budget pour acheter des produits de meilleure qualité : consommer moins, mais mieux ! 3/ Réduire le gaspillage Même si des efforts sont faits, avec 110g de gaspillage en moyenne par repas, il faut à tout prix réussir à réduire ce qui est jeté et cela se fera aussi ressentir sur le budget ! L’école est un lieu d’éducation, cela passe évidemment par l'assiette. A Lille, grâce aux menus végétariens, les équipes ont constatées une réduction de 40% du gaspillage ! Demandons à Mr Estrosi, maire de Nice, de mettre fin à la surconsommation de viande et de protéines animales dans les écoles. Merci pour l’engagement dont vous ferez preuve en signant ce manifeste ! Le collectif Cantine Verte Nice : FCPE 06, Jeudi Vert, l’AVF Nice et Greenpeace Nice
    1 392 sur 2 000 Signatures
    Créée par Collectif Cantine Verte Nice Picture
  • Marseille
    Marseille : pour des repas sains à la cantine !
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Marseille n'échappe pas à ce constat. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! M. Gaudin, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Marseille ? OUI, Marseille doit être exemplaire. Notre ville doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    1 315 sur 2 000 Signatures
    Créée par Angela Becker et Anna Levy Bencheton
  • Toulouse
    Pour des cantines d'école primaire vertes à Toulouse
    Cela fait déjà plusieurs années que la Mairie de Toulouse se préoccupe de fournir des produits issus de l'agriculture biologique, d'origine locale et même des options végétariennes de temps en temps. Anticipant l’entrée en vigueur de la loi EGALIM, la Mairie de Toulouse s’est engagée à proposer un menu végétarien par semaine dès le mois de juin. Il s’agit d’une étape importante vers une alimentation plus saine pour les enfants et plus respectueuse de l’environnement. L’engagement de la Mairie de Toulouse est à saluer, mais cela ne suffit pas. Face à l’urgence sanitaire, environnementale et climatique, une transformation plus ambitieuse est nécessaire. Deux menus végétariens et de qualité sont un minimum. Pourquoi est-ce important de proposer des repas végétariens dans les cantines scolaires ? Les repas végétariens, de qualité et équilibrés, sont pratiquement absents des cantines françaises. C'est pourquoi Greenpeace et l'Association Végétarienne de France (AVF) ont lancé fin 2017 une campagne visant à réduire la quantité de viande consommée et d’en améliorer la qualité, en commençant par la restauration scolaire. Il est urgent de changer nos habitudes de consommation et l'avenir, ce sont nos enfants. La restauration scolaire a un impact particulièrement fort sur l’éducation au goût et la promotion d’habitudes alimentaires saines et responsables. Les impacts de notre surconsommation de viande sont nombreux : déforestation en Amérique du Sud, pollution des eaux, résistance aux antibiotiques, obésité et maladies cardiovasculaires... L’élevage représente également 14 % de nos émissions de gaz à effet de serre. Le constat est accablant. Inverser la tendance est urgent ; d’ailleurs, la diversification des sources de protéines est l’une des manières les plus efficaces de réduire notre impact environnemental et de rétablir une balance nutritionnelle plus saine. Mettre en place deux repas végétariens par semaine, c'est bon pour tout le monde : pour la santé des enfants, pour la protection de l'environnement, mais également pour le développement de filières agricoles durables. Une fois par semaine c'est bien, mais deux, n’est-ce pas trop pour un enfant ? Avant toute chose, que l’on soit bien clair. En France, nous ne souffrons pas de nos carences, mais bien de nos excès : 37 % des adultes et 13 % des enfants présentent des problèmes de surpoids, sans compter l’obésité. Ceci est dû à une alimentation trop riche en produits carnés, ultra transformés, trop gras, trop sucrés et trop salés. Un plat de pâtes duquel nous aurions retiré le steak haché serait effectivement faible sur le plan nutritionnel. En revanche, des menus constitués de céréales (blé, riz…), de légumineuses (lentilles, pois chiches, haricots…) et de légumes peuvent apporter tout ce qu’il faut aux enfants en matière de protéines (les enfants en consomment de toute façon beaucoup trop en France – le double des recommandations scientifiques), mais également de fer, de calcium, etc. L’important est que les enfants aient accès à une alimentation diversifiée et de qualité. Et la suite ? Montpellier, Lille, Paris 19e et Grenoble sont déjà engagées pour plus de menus végétariens : à Toulouse de montrer à son tour l’exemple. Notre ville est située au cœur de l'Occitanie, une région agricole de qualité : nous avons tout pour réussir et être, ici aussi, moteurs du changement en faveur d’une alimentation plus durable ! Allez Toulouse, un repas végétarien par semaine c'est bien, mais deux c'est mieux !
    1 302 sur 2 000 Signatures
    Créée par Groupe Local de Greenpeace Toulouse Picture
  • Tours
    TOURS : pour des repas sains à la cantine !
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Tours n'échappe pas à ce constat. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Monsieur Bouchet, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tous par semaine, (composé de céréales, légumineuses) ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Fondettes, Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Tours ? Notre ville / doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    1 130 sur 2 000 Signatures
    Créée par Iman E.
  • Poitiers
    Pour des repas plus sains dans les cantines de Poitiers !
    Les enfants mangent aujourd’hui deux fois trop de viande dans les cantines scolaires par rapport aux recommandations des autorités sanitaires. Et cela a un impact dramatique sur notre environnement et la santé de nos enfants. En effet, l’élevage industriel nuit à la planète : il est synonyme de déforestation, d’émissions de gaz à effet de serre ou encore de pollution des eaux. L'excès de consommation de viande est mauvais pour la santé. Les études scientifiques le montrent : l'excès de viande augmente les affections cardio-vasculaires, les risques de cancer ou encore de diabète qui touche désormais 6,4 millions de personnes en France. Chez les enfants en particulier, la surconsommation de produits laitiers peut aggraver les risques de surpoids et d’obésité. Depuis septembre 2018, l'expérimentation d'au moins un menu végétarien par semaine dans les cantines scolaires est lancée. Ainsi, la commune de Poitiers propose depuis peu un repas végétarien de manière hebdomadaire. Bien que cette démarche soit positive, elle ne suffit pas. Au vu de l’urgence climatique, environnementale et sanitaire à laquelle nous sommes confrontés, nous demandons à la ville d'instaurer sans plus tarder un deuxième repas végétarien dans les cantines. Attention, il ne s'agit pas là de laisser tomber une source d'énergie mais bel et bien de la troquer contre une autre source équivalente pour donner aux enfants l'équilibre nutritionnel dont ils ont besoin. Moins de repas carnés et plus de repas végé dans les cantines scolaires, c'est possible et nécessaire ! La mairie propose également deux produits bio par semaine et un repas entièrement bio une fois par mois. C’est trop peu. Nous demandons à ce que la mairie s’engage publiquement et lance au plus vite un plan d’action pour fournir d’ici la fin de l’année une majorité de produits frais, bio et locaux. Demandez à la mairie de passer à deux menus végétariens et d’augmenter la part de produits bio et locaux dans nos écoles. Signez cette pétition ! Cette offre est déjà en place dans plusieurs villes telles que Grenoble ou Lille : pourquoi pas à Poitiers ? Notre ville doit elle aussi s'engager afin de protéger la santé de nos enfants et de notre planète !
    1 032 sur 2 000 Signatures
    Créée par Groupe Local de Greenpeace Poitiers
  • Angers
    Moins de viande dans les cantines scolaires d’Angers, des aliments bio et locaux pour nos enfants !
    Parce que la santé de nos enfants, de nos adolescents est une priorité, Parce qu'il est urgent de préserver l'environnement, Parce que l'équilibre des enfants et celui de notre planète n'attendent pas, Nous demandons à notre Maire, M. Christophe Béchu et à l'EPARC de se montrer pionniers sur le sujet et d’aller plus loin que ce que préconise la loi en instaurant sans plus tarder deux repas sans viande ni poisson par semaine, incluant un composé de protéines végétales (lentilles, pois-chiches…) ainsi qu’une option quotidienne végétarienne (sans viande ni poisson) les autres jours, en utilisant une majorité de produits frais, bio et locaux. Pour la santé de nos enfants et celle de la planète, il faut sortir de la surconsommation de viande. La mise en place de deux repas végétariens obligatoires hebdomadaires dans les cantines scolaires serait une preuve de l'intérêt que porte notre ville à l'équilibre et la santé de nos enfants ET de notre planète. D’autres villes ont déjà sauté le pas : les municipalités de Grenoble et Lille ont par exemple déjà mis en place avec succès deux repas végétariens par semaine dans leurs cantines. Pourquoi pas Angers ? La mairie d’Angers et l’EPARC ont l’opportunité d’agir. Poussez-les à la saisir : signez cette pétition pour leur montrer que nous voulons des enfants et une planète en bonne santé !
    716 sur 800 Signatures
    Créée par Groupe Local de Greenpeace Angers
  • Romainville
    Romainville et SIRESCO : cessons le cauchemar dans les cantines !
    Les menus comportent beaucoup trop de viande. L’élevage industriel est responsable à lui seul de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre. C’est autant que le secteur des transports. D’après l’OMS la surconsommation de viande est une des causes du surpoids et de l’obésité. Or en moyenne, un enfant à la cantine consomme deux fois les apports journaliers recommandés en protéines. Les aliments sont servis ou réchauffés dans des barquettes en plastique à usage unique. Les perturbateurs endocriniens contenus dans ces barquettes migrent dans les aliments et sont à l’origine de problèmes de puberté précoce, stérilité, cancers hormonaux. Sans compter l’impact environnemental désastreux de ces milliers de déchets quotidiens. Le recours à des aliments ultra transformés comportant un cocktail d’additifs controversés est trop fréquent. Il est urgent que le SIRESCO change ses pratiques. L’émission « Envoyé spécial » du 15 Novembre 2018 a montré le SIRESCO dans son dossier « Cauchemar à la cantine » et les récentes alertes sanitaires qui l’ont éclaboussé dans plusieurs villes (lasagnes moisies, concombres avariés, etc.) ont bien montré que la situation ne pouvait plus continuer. Pour améliorer la valeur nutritionnelle et la qualité hygiénique de l’offre alimentaire : nous demandons que le SIRESCO propose de vrais repas cuisinés, dans un délai bien plus court qu'actuellement (jusqu’à J+5), avec moins de viande, moins d’additifs, moins de pesticides, plus de produits locaux, de circuits courts, de saison et bannisse le plastique. Or cette demande ne peut passer que par les maires en Conseil Municipal. C’est pourquoi, au nom des militants des groupes locaux de Greenpeace Ile de France, des collectifs : Romainville Pas d’usine, on cuisine!; Aubervilliers, Mon assiette, Ma santé ; Arcueil, bien dans mon assiette ; Champigny Pas de barquette dans mon assiette ; Bien manger à Choisy ; des parents de la Courneuve et des autres villes adhérentes ; nous demandons aux maires des communes membres du SIRESCO, dont Romainville fait partie, de proposer et de voter au sein du syndicat : - L’instauration de deux repas végétariens cuisinés et bio par semaine et pour tous - L’abandon des barquettes en plastique pour de l’inox ou du verre - La réalisation de travaux pour une légumerie et pour un laboratoire pâtisserie - L’augmentation du nombre de cuisiniers - La mise en place effective et immédiate de toute autre mesure permettant l’obtention de la certification ECOCERT En Cuisine niveau 3 - L’adhésion au club des territoires de l’association Un Plus Bio - Des commissions restauration pour les parents et les convives dans toutes les villes du SIRESCO Signons cette pétition, pour que nos enfants aient enfin des repas de qualité, bons pour la planète, et bons pour leur santé !
    682 sur 800 Signatures
    Créée par Collectif Intervilles pour des Enfants Heureux à Table