• Soutien au Laboratoire Ecologique Zéro Déchets de Pantin - Victoire !
    En 2018, le Laboratoire Ecologique Zéro Déchet voit le jour à Noisy-le-Sec avec un projet : créer un lieu de lutte contre le gaspillage alimentaire et matériel, où les activités seraient gratuites et où l'écologie rimerait avec solidarité, apprentissages et culture. Quelques mois plus tard, le LÉØ a pu mettre en place un atelier de réparation, une cuisine, une AMAP, accueillir d’autres associations, attirer les habitants du quartier. Mais le collectif est expulsé et finit par s’implanter dans l'actuel entrepôt de Pantin, un bâtiment abandonné appartenant à l’EPFIF. Dans ce lieu de 4 000 mètres carrés, le LÉØ peut poursuivre son projet et se déployer. En quelques mois, le LÉØ devient un acteur incontournable et irremplaçable pour les habitant.es et un lieu-ressource pour un nombre impressionnant d'initiatives solidaires. Aujourd’hui, le LÉØ a créé un solide réseau de partenaires et agit avec eux pour la préservation de la biodiversité, la renaturation et la désartificialisation des sols, le recyclage, la réparation, le réemploi, la réduction des déchets, etc. Ce réseau comporte également nombre de collectifs, des professionnel.les du secteur médico-social, des ONG (Action contre la faim), ainsi que des chercheur.euses qui travaillent avec le LEØ. Des dizaines d’acteurs institutionnels reconnaissent le LEØ comme partenaire de confiance et le sollicitent pour venir en aide aux personnes vulnérables. A titre d'exemple, au moment du confinement de mars 2020, le LÉØ a ainsi pris le relais de structures à l'arrêt en stockant et redistribuant des milliers de boîtes de lait infantile et autres produits d’hygiène, en confectionnant des masques, en préparant des colis pour les jeunes mamans sans revenus. Aujourd'hui, le LÉØ aide directement et indirectement des milliers de personnes en proposant: • un atelier d’auto-réparation et de construction ainsi qu’une matériau-thèque gratuite • un atelier couture zéro déchet • des actions de récupération d'invendus alimentaires • une cantine végétale à prix libre • des actions de compostage • des actions de renaturation dans deux friches • une gratuiterie • des dons de colis alimentaires et vestimentaires, des dons d’électroménager, meubles, vaisselle, etc. pour des familles démunies (environ 70 à 100 colis distribués mois) • de l’hébergement d’urgence et de l’accompagnement individuel pour les femmes, jeunes mamans et mineurs isolés • une plateforme logistique de dons confiés par Action contre la faim pour être redistribués aux familles et aux associations du 93. • une étude ethno-photographique réalisée par un sociologue depuis 3 ans avec la sortie d’un livre en juin 2020. • un lieu de vie ouvert sur le quartier avec des projections de documentaires, spectacles, débats, conférences, stockages, ateliers, réunions, répétitions… Mais aussi via des associations partenaires et des professionnel.les engagé.es à leurs côtés : • des cours de français pour les femmes • des ateliers parentalité • des ateliers et groupes de paroles pour les femmes/mères • des ateliers boxe en non mixité • des ateliers d’auto-défense féministes • des distributions alimentaires • des ateliers low-tech /soudure /sérigraphie /crochet zéro déchet • une Amap et sa coopérative d’achats de produits secs Tout cela entre pleinement dans ce que défendent et revendiquent les collectivités territoriales : des actions écologiques accessibles à toutes et tous, une réduction conséquente des déchets et une sensibilisation du public, des ateliers et espaces de rencontre de quartier inclusifs avec une très grande mixité sociale, une solidarité de terrain efficace et qui ne coûte rien aux institutions. Soulignons que le travail constant et sans relâche de seulement trois personnes a permis ce résultat incroyable d’un lieu qui fonctionne sans aucune subvention, montrant ainsi ce qu'il est possible d’accomplir à l'échelle d'un territoire lorsque l'on s'attaque de front à la précarité économique, sociale et écologique, au cœur même des quartiers. A l'heure où nos élu.es votent une « loi consacrée au climat et à la résilience », des lieux comme le LEØ devraient voir le jour partout et des initiatives semblables être encouragées. Tout comme la ferme du Bec-Hellouin a démontré ce que pouvait faire la permaculture, le LEØ, véritable laboratoire d'écologie sociale et solidaire, nous montre tout ce qu'un éco-lieu reposant sur le partage, l'intelligence collective et la créativité peut réaliser. Pour toutes ces raisons, et au nom de toutes les personnes et associations qui bénéficient directement ou indirectement des activités du LEØ, au nom de toutes les citoyennes et citoyens (en France et ailleurs) qui, en ces temps sombres, face à la catastrophe écologique en cours, ont besoin d'horizons positifs et de réalisations inspirantes, nous demandons à ce qu'une solution soit trouvée pour que le LEØ puisse continuer à exercer ses activités sur le bâtiment de Pantin, conformément au jugement rendu par le tribunal de Pantin, ou ailleurs dans des conditions équivalentes. Il y a urgence : l'EPFIF a choisi de faire appel du jugement favorable au LEØ de novembre 2019, et a refusé les demandes de conciliation, recommandées par le tribunal de Pantin. Le LEØ est passé devant la Cour d'Appel le 20 mai et le jugement sera rendu le 17 juin. Merci de diffuser cette pétition et de faire connaître le LEØ. Vidéo de présentation : https://urlz.fr/fBx3
    3 546 sur 4 000 Signatures
    Créée par Collectif de soutien du LEØ
  • STOP POLLUTION DU LEZ
    Lorsqu'il pleut, les déchets abandonnés par terre partent par ruissellement dans les grilles pluviales ou avaloirs (incorrectement appelé "plaque d'égout"). Il existe deux réseaux de récupération d'eau : le réseau unitaire et le réseau séparatif. Dans le premier cas, le réseau achemine l’eau domestique et l’eau pluviale dans les stations d’épuration. Sauf... lorsque il y a de fortes pluies (ce qui arrive très régulièrement dans l'Hérault), l’eau qui est alors stockée dans les cuves et finie par déborder, entraînant les déchets contenus dans le Lez puis la mer Méditerranée. Dans le second cas, le réseau séparatif va drainer les eaux domestiques vers les stations de traitement des eaux usées et les eaux pluviales directement dans les cours d’eau sans aucun traitement. Vous l’aurez compris, peu importe le réseau emprunté par les déchets, ils finissent toujours par polluer et restent un fléau sans nom pour la biodiversité. Les solutions que la métropole doit mettre en œuvre pour lutter contre cette pollution : o Campagne de communication afin de sensibiliser les citoyen.ne.s à la problématique des déchets présents dans le Lez et la Méditerranée : disposer des plaques en métal de sensibilisation devant les grilles pluviales et sur les berges et affichages aux arrêts de transport public o Mettre à disposition des cendriers de poche chez les buralistes o Développement de nudges sur l’espace public pour améliorer la collecte, notamment proche des transports en commun (par exemple : cendriers avec vote pour inciter aux gestes propres de façon ludique) o En réseau d’assainissement, installer sur des points stratégiques du réseau des pièges à déchets : • Au niveau des points d’entrées : grille pluviale, avaloirs… • A l’entrée d’ouvrages comme des postes de refoulement ou de décantation La situation est aujourd’hui d’autant plus alarmante du fait de la crise sanitaire actuelle. En effet, les produits à usage unique sanitaires sont massivement utilisés (masques chirurgicaux, gants et lingettes). De plus, la vente à emporter, tout comme la livraison à domicile connaît une augmentation significative. Or, ces derniers sont connus pour leur forte utilisation de plastiques à usage unique.
    2 556 sur 3 000 Signatures
    Créée par Groupe local Greenpeace de Montpellier
  • Porge : libérez-nous du tout-voiture !
    Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Mme Brana, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 ; - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - d’avancer sur des mesures visant à maîtriser la demande en déplacements comme l’abandon des projets de nouvelles zones commerciales en périphérie ; - d’abandonner tout projet de nouvelle infrastructure routière/autoroutière ou d’extension des capacités routières ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de renforcer et pérenniser les dispositions temporaires qui ont été mises en place en faveur du vélo et des piétons dans le contexte covid ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en commençant par honorer vos promesses de campagne sur ces enjeux [le cas échéant si promesses il y a eu] et en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Madame la Maire, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/
    44 sur 100 Signatures
    Créée par vincent b.
  • Recyclons au lieu de brûler nos papiers et cartons en Nouvelle Aquitaine
    Tenons la feuille de route de Néo Terra mise en œuvre par la Région Nouvelle Aquitaine : • Notre projet ORIGAMI d’économie circulaire, doit s'appuyer sur les pouvoirs Publics et les acteurs de l’Economie Sociale et Solidaire car notre association a pour ambition d'être est en phase avec les objectifs de la feuille de route Néo Terra mise en œuvre par la Région Nouvelle Aquitaine : • Contribuons à faire de la Région Nouvelle Aquitaine un territoire de création d’entreprises sociales et solidaires. • Visons la sobriété énergétique par le développement de produits bio-sourcés. • Préservons la bio-diversité par le recyclage de Papiers & Cartons Recyclés. • Impliquons les citoyens. • Soutenons l’économie de proximité. https://avenirpapeteriedebegles.fr/
    1 175 sur 2 000 Signatures
    Créée par mario C.
  • Opposons-nous au projet de carrière sur la montagne de la Serre - Grospierres et Sampzon
    La montagne de la Serre est un sanctuaire naturel de première importance qui constitue un corridor écologique entre le parc national des Cévennes et la réserve régionale des gorges de l’Ardèche. Cette spécificité lui a valu le classement Natura 2000 et le label ZNIEF (Zone Naturelle d’intérêt et Ecologique et Faunistique) pour un large secteur jouxtant ce projet de carrière ! De nombreux scientifiques (naturalistes, géologues, archéologues…) sont déjà montés au créneau contre ce projet qui est une véritable aberration à l’heure où la protection des espaces naturels et la qualité de vie des habitants sont devenues une priorité des pouvoirs publics. De plus l’extension de cette exploitation serait fort probable à l’avenir. La municipalité de Grospierres a déjà voté à l’unanimité contre ce projet. Celle de Sampzon ne s'est néanmoins officiellement pas prononcé! Ce projet ne doit pas voir le jour, ne devrait pas être étudié! Ne perdons pas de temps, opposons-nous!
    196 sur 200 Signatures
    Créée par Henri V.
  • La mafia des océans
    Regardez le reportage : SEASPIRACY la pêche en question pour mieux comprendre ( sur Netflix ou autres plateformes). La pêche industrielle pour l’industrie du poisson est responsable à elle seule de plus de la moitié des déchets plastiques dans les différents océans du mondes . Si l’on ne réagit pas nos océans ne seront bientôt plus que des décharges flottantes arides de vie . Il faut oublier nos habitudes néfastes pour la planète afin de la laisser se régénérer. Pendant que 10 millions d’hectares de forêt subissent la déforestation chaque année (l équivalent de 27 terrains de football sont rasés par minute )cela semble énorme mais n’est rien en comparaison de la déforestation maritime qui s’étend à 1,5 milliard d’hectares an ( l’équivalent de 4316 terrains de football par minute ) . La moitié des espèces animal pêchées sont rejetées « inertes de vie »(dauphins , oiseaux marins, tortue ... pour que l’autre moitié soit consommée . Les élevages consomment plus de kilos de poissons qu’il n’en produisent en cages sans compter les maladies et parasites qui pullulent , l’esclavagisme dans certain pays ainsi que la pollution qui en résultent ... Nos enfants ne connaîtront pas la plupart des ressources que nous avons connu et leurs enfants ne pourront tout simplement plus répondre à leur besoins si l’on apprend pas dès maintenant à gérer nos ressources mondiales. Pour cela il faut RÉAGIR VITE ET ENSEMBLE !!! Pour commencer il faut mettre fin au massacre des 10 000 dauphins tués au large des côtes du sud de la France chaque année par des filets et divers matériaux de pêche ensuite il nous faut voir plus loin mais commençons par ce qu’il est juste sous nos yeux et que personne ne veut voir. RÉAGISSONS TOUS ENSEMBLE pour que par la suite en France puis dans le monde entier nous réussissons à faire comprendre , à montrer l’exemple ils nous faut absolument mettre fin à la pêche industrielle avant qu’il n’y est plus rien !! SIGNEZ PARTAGEZ
    220 sur 300 Signatures
    Créée par Stanislas V. Picture
  • Il est urgent d’abandonner les vols courts au départ de Lille
    Pour respecter les Accords de Paris, des mesures fortes doivent être prises concernant le secteur aérien qui représente vraisemblablement plus de 7% de notre empreinte carbone nationale, et dont le trafic double tous les 15 ans (1). Parmi les leviers d’action pour réduire l’empreinte carbone du secteur, supprimer les vols courts constituerait un premier levier à actionner au niveau national. En effet, selon une étude du RAC, “la suppression des vols qui se font en moins de 6 heures en train permettrait de diminuer de plus de 80% les émissions de CO2 issues des vols métropolitains et d’environ 6% les émissions de l’ensemble des vols au départ de la France”. (2) Selon une étude menée par Greenpeace portant sur 15 connexions aériennes parmi les plus utilisées (alors qu’une alternative en train existe en moins de 6 heures et sans changement), la différence en termes d’émissions de CO2eq par passager entre l’avion et le train est considérable (pour un même trajet). Pour la moitié des connexions étudiées, le trajet en avion est au moins 60 fois plus émetteur que le même trajet en train. (3) Il est donc impératif d’abandonner l’avion pour les trajets qui peuvent être faits en train, largement moins polluant, tout en investissant en parallèle pour une véritable relance du ferroviaire. Nous demandons également que soient anticipées les conséquences sociales de cette mesure, en protégeant les travailleur-ses impacté-es et leurs droits, en les formant et en accompagnant leur reconversion vers des emplois ou des secteurs plus adaptés au défi climatique quand cela sera nécessaire, et en les associant aux réflexions et aux décisions​. A ce sujet la mesure actuellement prévue sur ce sujet dans le cadre de la loi Climat est largement insuffisante : elle ne permettrait au mieux que la fermeture de 5 connexions sur la centaine de connexions aériennes intérieures existantes. Dans ce contexte, nous devons continuer à exiger des décideurs politiques locaux et nationaux qu’ils relèvent le niveau d’ambition sur ce sujet de la suppression des vols courts. A notre échelle, nous demandons la suppression des lignes aériennes suivantes, pour lesquelles une alternative en train de moins de 6 heures existe : Suppression du vol Lille-Lyon : une alternative en train de 3h existe Suppression du vol Lille-Strasbourg : une alternative en train de 4h existe Suppression du vol Lille-Marseille : une alternative en train de 5h existe Suppression du vol Lille-Bordeaux : une alternative en train de 5h existe Suppression du vol Lille-Nantes : une alternative en train de 5h30 existe Suppression du vol Lille-Montpellier : une alternative en train de 5h existe Suppression du vol Lille-Brest : une alternative en train de 5h50 existe Les crises sanitaire et climatique imposent de repenser en profondeur le secteur aérien. Alors que la loi Climat est encore en cours d’examen parlementaire et que des échéances électorales arrivent aux niveaux local et national, signez la pétition pour demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tous, pour une société soutenable et juste. Signer, c’est affirmer son soutien aux alternatives à l’avion, exiger la fermeture des lignes aériennes mentionnées, et s’engager à ne pas y avoir recours à titre individuel. Merci pour votre soutien ! Sources : (1) "Climat : pouvons-nous (encore) prendre l’avion ?" - Rapport B&L évolution ( https://www.bl-evolution.com/Docs/200721_Etude-BLevolution_Climat-Aviation.pdf ) (2) Rapport du RAC https://bit.ly/3jIGWoi (3) Rapport de Greenpeace : https://bit.ly/3u7bvIs
    1 418 sur 2 000 Signatures
    Créée par Mina D.
  • Versailles : Nous voulons + de repas végétariens
    Aujourd'hui, à la cantine du lycée, nous mangeons de la viande ou du poisson tous les jours ou presque. Manger trop de viande, oeufs et produits laitiers notamment issus de l’élevage industriel, a un impact énorme sur la dégradation de l’environnement et le dérèglement climatique (l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre*) et sur notre santé à TOUS. L’urgence climatique est un drame pour notre futur. Nous ne sommes pas tous végétarien·es mais nous sommes unanimes : nous voulons consommer moins de viande. Élevé du lycée Notre-Dame du Grandchamp-Jules Brochet, il est grand temps d’agir pour la transition écologique. En plus de respecter la loi “Agriculture et Alimentation” qui prévoit l'introduction d’un repas végétarien par semaine obligatoire dans les cantines scolaires, nous vous demandons d'introduire dès maintenant dans notre lycée : - 2 menus végétariens pour tous par semaine; - Un choix végétarien équilibré et de qualité les autres jours; - Une majorité de produits frais, locaux et bio. Comme l’a démontré un récent rapport de Greenpeace, l’instauration de menus végétariens a des effets positifs sur le climat, l’eau et réduit les risques de déforestation. Dans le même temps, diminuer la part de viande permettra de libérer du budget pour introduire des produits de meilleure qualité et pour servir des repas plus variés. De nombreuses recettes végétariennes compatibles avec la restauration scolaire existent, des exemples sont consultables sur le site www.vegecantines.fr . De nombreuses mairies s’engagent réellement, en proposant deux menus végétariens par semaine, comme c’est le cas à Lille, Mouans-Sartoux, Grenoble ou Paris 19ème et 2ème. Ces menus leur ont permis d’améliorer la qualité des plats et d’acheter davantage de produits bio. Si ces établissements ont déjà opéré une transition végétale des cantines pourquoi pas Versailles? OUI, Versailles doit jouer son rôle dans la préservation de l’environnement, et cela passe aussi par notre assiette. Sources : *IPBES et FAO 2013 Rapport de Greenpeace "Menus végétariens à la cantine, quels impacts pour la planète?" - sept 2020 : https://bit.ly/35MBnR4
    70 sur 100 Signatures
    Créée par Jules B.
  • Le cinéma et l'audiovisuel pour un bilan carbone obligatoire !
    Nos tournages sont itinérants et éphémères, mais leur empreinte environnementale est éternelle. La France est très en retard sur les promesses qu’elle a faites pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre, tandis que de l'autre côté de la Manche cela fait des années que la BBC a rendu obligatoire le bilan carbone de ses productions. Nous sommes nombreux-ses à être sensibles à la nécessité pour notre industrie d’une transition écologique, voire d’une reconstruction écologique tant le sujet est urgent et le projet ambitieux. Cependant nous savons que sans le soutien des décisionnaires nous ne pourrons pas y arriver. FACE À L'IMPÉRATIF ÉCOLOGIQUE, NOUS DEMANDONS L'OBLIGATION DU BILAN CARBONE POUR TOUTES LES PRODUCTIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ET AUDIOVISUELLES ! Il est urgent d’agir, mais à chaque étape il est impératif de prendre en compte le facteur humain. Il ne s'agit pas de contraindre les salarié-e-s mais de leur offrir la possibilité de participer à la transition écologique de leurs métiers. C'est pourquoi nous demandons aussi un accompagnement financier et technique : 1. La mise en place par le CNC d’un fond de soutien vert pour toute l'industrie cinématographique et audiovisuelle en France afin de l'aider à mettre en œuvre sa reconstruction, et conditionné à la réduction réelle de son impact environnemental ; 2. L'inscription du métier de chargé-e en éco-production dans la grille des métiers de la convention collective du cinéma et de l'audiovisuel ; iel accompagnera chaque tournage, responsable de réaliser le bilan carbone et activement présent dès le planning de la pré-préparation jusqu'à la fin de la post-production ; 3. La création d’une formation au métier de chargé-e en éco-production financée par l'AFDAS ; 4. La création d’une plateforme d’enregistrement de chaque bilan carbone dont les données feront l’objet d’une synthèse annuelle publique. ____ Le bilan carbone est le premier pas vers la reconstruction écologique de notre industrie. Nous le savons, nos productions sont polluantes mais à ce jour nous ne disposons que de très peu de données réelles et fiables. Afin d'établir des plans d'action pour réduire notre empreinte environnementale, il faut déterminer où se situent les plus grandes émissions de CO2 et autres gaz à effet de serre et identifier les sources précises de gaspillage (eau, déchets, etc.). Elles ne sont pas les mêmes d'un tournage à l'autre, du studio local à l'étranger, du court-métrage aux séries télévisées, des plus petits budgets aux plus grosses productions. Ce bilan environnemental est également primordial pour vérifier que les alternatives vertes ont un réel effet positif. Notre industrie n’échappe pas aux répercussions de la pandémie et, plus globalement le monde de la culture traverse une période désastreuse. Nous avons su faire preuve de résilience et d'une capacité d'adaptation sans précédent, nous ne céderons pas pour autant à la facilité : saisissons l’opportunité de valoriser cette résilience et de répondre à l’impératif écologique. Nous invitons les organisations patronales et les syndicats de salarié-e-s, les organismes publics et privés, les associations professionnelles, les prestataires et tous les maillons de la chaine de fabrication et de la diffusion d'œuvres cinématographiques et audiovisuelles, à se joindre à nous pour mettre en œuvre l’infrastructure qui garantira la mise en place et le respect de l'obligation du bilan carbone. Nous invitons également tous les prestataires de notre domaine : loueurs, fabricants, studios, salles de cinéma et maisons de production, etc. à nous suivre dans cette démarche en faisant réaliser des bilans carbones de leur activité. IL EST TEMPS DE PASSER À L'ACTION ! ENSEMBLE, FAISONS CE PREMIER PAS VERS NOTRE RECONSTRUCTION ÉCOLOGIQUE ! Cette pétition est à l’initiative de l'éco-syndicat Printemps Écologique - Culture, Médias et Télécommunications et elle est signée par 18 co-signataires : - Deauville Green Awards - Association Française du Son à l'Image (AFSI) - Travelling, l'Ecole Supérieure du Cinéma et de la Télévision de Montpellier - Métiers Associés du Décor (MAD) - Éco Déco Ciné - La Ressourcerie du Cinéma - Association Française des Accessoiristes de Plateau (AFAP) - 3IS - Conservatoire Libre du Cinéma Français (CLCF) - Association des Responsables de Distribution Artistique (ARDA) - Les Scriptes Associés (LSA) - Studio M - ACFA Multimédia - ISTDS (Montréal) - Association Française des directeurs de la photographie Cinématographique (AFC) - Lucien TV - Media Club Green - On est prêt Si votre organisme souhaite co-signer cette pétition contactez-nous au [email protected] ! https://zupimages.net/up/21/22/34qq.jpg
    933 sur 1 000 Signatures
    Créée par Printemps écologique - C. Picture
  • Stop Panhard à Sens
    Nous appelons les Sénonaises et Sénonais, toutes et tous les habitantes et habitants des communes du Grand Sénonais, les commerçants, les artisans, les paysans du territoire à exiger l'abandon de ce projet. Le projet d’installation à Sens d’une plateforme logistique pour un mystérieux géant du e-commerce par la société Panhard est mené dans l’ombre, comme toujours, pour éviter les oppositions citoyennes : il a fallu des questions au conseil municipal du 23 novembre 2020 pour que quelques rares informations soient données. Ce que l’on sait : On parle de l’implantation d’une immense « plateforme logistique pour un géant du e-commerce » par le groupe Panhard, sur 40ha de terres agricoles. Les impacts néfastes qu’aurait ce projet sont nombreux : Destruction du patrimoine naturel et rural sénonais, dans la lignée des ravages déjà commis avec l’extension de la lèpre des zones commerciales et d’activité, alors même que des zones existantes périclitent. Nouveau recul de l’activité agricole, un atout majeur d’attractivité gaspillé. Augmentation terrible du trafic routier : Près de 1000 mouvements quotidiens Poids lourds, et plus de 2500 mouvements de « Véhicules légers », c’est-à-dire de grosses camionnettes Destruction des commerces locaux, au bout du compte, des pertes nettes d’emplois Nouveaux coûts de voirie et de réseaux récurrents pour la collectivité, qui devront être assumés quel que soit le destin de ce projet Pourquoi si peu de transparence et d’information publique ? Quels avantages fiscaux pour ce « géant » ? Quels bénéfices attendus en termes d’impôts locaux au regard des investissements initiaux et des coûts récurrents d’entretien des infrastructures ? Comparons avec un commerce « type » de notre ville, en termes d’imposition au m² ! Le principal argument des promoteurs de ce projet néfaste : les emplois créés. DES EMPLOIS CRÉÉS, VRAIMENT ? Ce véritable bouclier magique derrière lequel se retranchent les soutiens du projet est une illusion ! > 2000 emplois promis, ce sera dans les faits 200 ou 300, il suffit de voir ce qui s’est fait ailleurs > 1 emploi créé dans le e-commerce c’est 2,5 emplois détruits dans les commerces de proximité > Avec la Robotisation, à terme, c’est 0 emploi que nous aurons. > Des emplois précaires dans des conditions de pénibilité avérées : cadence de travail infernale imposée par des robot, pauses réduites, burn-out fréquents… C’est un rythme proprement inhumain. > Une rotation du personnel très élevée, les employés sont renouvelés très régulièrement, avec une formation minimale des salariés. > Aucune garantie sur la durée de cette activité   Comment cela se passe-t-il sur d’autres sites à deux pas de chez nous ? > A Savigny-sur-Clairis, à 25km de Sens, la base logistique de 57.000m² du promoteur FM Logistique pour le compte de Carrefour a fermé après seulement 2 ans. 300 emplois perdus. > A deux pas, Ibiden qui a touché des subventions de la région pour s’installer, part en Hongrie en 2018. 300 emplois perdus Et si on regarde sur la France entière, les exemples sont légion, et les opposants arrivent souvent à empêcher ces projets de se faire pour sauver leur patrimoine naturel et les commerces de proximité.
    944 sur 1 000 Signatures
    Créée par Sens Ecologie & Solidarité E. Picture
  • « Moins de voiture en ville, plus d’espace pour vivre ! » #vivre en ville
    Les différentes crises que nous vivons nous incitent à réinventer nos vies en ville, en changeant notamment la façon de nous déplacer et d’investir l’espace urbain, et en interrogeant nos besoins de déplacement. Pour envisager l’avenir plus sereinement, il nous faut donc trouver un meilleur équilibre de mobilité urbaine nous permettant de nous déplacer de façon saine, efficiente et inclusive tout en minimisant les coûts d’infrastructure et l’empreinte environnementale associée. Dès lors, il est essentiel de privilégier le mode de déplacement élémentaire : la marche, accessible à beaucoup d’entre nous, gratuit, sain et neutre sur le plan environnemental. Ensuite, il convient de favoriser d’avantage qu’il ne l’est actuellement, le vélo et ses déclinaisons (comme les vélos utilitaires, vélos cargos, vélos taxi, etc.), car ces modes de déplacement sont à la fois sains, efficaces et économes en ressource et en infrastructure. Les transports en commun, les transports à la demande, le covoiturage et l’autopartage, doivent également être promus, en particulier dans les situations où la mobilité active n’est pas possible (e.g. handicap, longue distance, condition climatique, sécurité, topographie, etc.). Enfin, à l’instar de nombreuses villes qui ont déjà engagé cette transition (e.g Copenhague, Amsterdam, Bolzano, Padoue, Cambridge, etc.), il semble indispensable que la part des transports individuels motorisés diminue significativement, en réservant son usage aux situations non couvertes par les solutions précitées. Ce changement profond des parts modales pourrait être accompagné par une urbanisation multicentrique : un espace urbain de proximité, créateur d'activité et de lien social ; une urbanisation visant à éviter les phénomènes de report de circulation vers des périphéries ; un territoire où la qualité de vie s'améliorerait par cette capacité à rendre une taille humaine à des villes vivantes, vibrantes, inclusives et solidaires ! Pour en savoir plus : https://vm.caoua.org/dg/petition-liens.html Contact: [email protected] Web: https://colibris-wiki.org/devoituronsGrenoble/?PagePrincipale https://twitter.com/devoiturons
    605 sur 800 Signatures
    Créée par Dévoiturons Grenoble C. Picture
  • Monsieur le Maire de la ville de Valenciennes : libérez-nous du tout-voiture !
    Notre territoire et celles et ceux qui y vivent souffrent de la pollution de l’air, qui constitue aujourd’hui une urgence sanitaire établie. Le trafic routier porte une responsabilité toute particulière en ce qui concerne les émissions de polluants atmosphériques dangereux pour la santé et doit absolument être restreint. Le trafic routier est également l’un des premiers secteurs émetteur de gaz à effet de serre à l’échelle de notre agglomération. L’urgence climatique nous impose d’agir rapidement et de sortir de notre dépendance collective au pétrole, au transport routier et à la voiture individuelle. C'est un enjeu essentiel et pour autant l’abandon des véhicules polluants et de la logique du tout-voiture ne doit laisser personne sur le carreau. Évidemment, nous savons qu’il n’est pas toujours facile de se passer de sa voiture, mais nous pensons qu’il est de la responsabilité de nos élu.es de nous en donner les moyens, en développant les alternatives et en accompagnant le changement, notamment pour les plus fragiles d’entre nous. Monsieur Degallaix, il est grand temps d’agir pour la transition écologique et pour une mobilité urbaine adaptée aux crises sanitaire et climatique. Nous vous demandons donc : - de programmer et d’organiser la sortie des véhicules polluants dans notre ville/intercommunalité, à travers la mise en oeuvre d’une Zone à Faibles Emissions sur un périmètre géographique ambitieux, en intégrant les différentes catégories de véhicules polluants, en particulier les véhicules individuels, fixant notamment un cap de sortie du diesel à horizon 2025 et de l’essence à horizon 2030 - de prendre des mesures visant à réduire la place dédiée à la voiture dans notre ville/intercommunalité (mise en place de “rues scolaires”, mise en place ou développement des zones piétonnes et des zones à trafic limité, généralisation de la baisse des vitesses à 30 km/h et baisse de la vitesse sur les rocades, réduction du stationnement en voirie, etc.) et de réguler notamment la présence des véhicules les plus encombrants comme les SUV ; - de continuer à développer la solution vélo (plan vélo ambitieux à hauteur de 30€/an/hab minimum, mise en place d’un réseau express vélo métropolitain, activation des autres leviers d’un système vélo performant : stationnement sécurisé, intermodalité avec les transports en commun, services de location courte et longue durée, apprentissage pour tous, ateliers de réparation, etc.) ; - de renforcer et pérenniser les dispositions temporaires qui ont été mises en place en faveur du vélo et des piétons dans le contexte covid ; - de continuer à développer le réseau de transports en commun (amélioration des fréquences et amplitudes horaires, mise en place de couloirs réservés pour les autobus, mutualisation des systèmes de billettique entre les différentes offres de transports collectifs et avec les services de mobilités alternatifs, développement des transports urbains en site propre notamment vers/entre les quartiers périphériques denses mal desservis, etc.) ; - de mettre en place une tarification sociale et solidaire basée sur les ressources pour les transports en commun ; - de prévoir un accompagnement et des aides à la transition, pour soutenir les particuliers et les professionnels dans le changement de véhicule ou, mieux, de moyen de transport ; de faire preuve d’exemplarité concernant la flotte des transports en commun et de la ville : optimiser et rationaliser les déplacements au sein de la collectivité et engager une véritable politique de mobilité durable. Il reste beaucoup à faire dans nos grandes villes françaises sur ce sujet de la lutte contre la pollution automobile, comme l’a démontré un classement des villes* publié en amont des élections municipales de 2020 par le Réseau Action Climat, Unicef France et Greenpeace France. La crise sanitaire Covid que nous traversons a mis une nouvelle fois en lumière la nécessité absolue d’avancer rapidement sur ces enjeux de mobilité urbaine. Sortir du tout-voiture, du diesel et de l’essence et prioriser d’autres manières de se déplacer en ville demande du courage politique et c’est indispensable pour faire face à l’urgence sanitaire et climatique. Maintenant que les élections sont passées, nous vous demandons de passer rapidement à l’action pour lutter de manière ambitieuse contre la pollution automobile, en prenant en compte nos demandes dans ce texte. Je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire, l’expression de ma considération distinguée. *Source : https://www.greenpeace.fr/lutte-contre-la-pollution-de-lair-classement-des-12-plus-grandes-agglomerations-francaises/
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