Cantine Verte

Les jeunes mangent au moins 2 fois trop de viande à la cantine. Une aberration dangereuse pour leur santé, mais aussi dévastatrice pour la planète.

Trouvez votre campagne locale
Votre région

Campagnes (55)

  • Aubervilliers
    Aubervilliers et SIRESCO : cessons le cauchemar dans les cantines des écoles primaires !
    Les menus comportent beaucoup trop de viande. L’élevage industriel est responsable à lui seul de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre. C’est autant que le secteur des transports. D’après l’OMS la surconsommation de viande est une des causes du surpoids et de l’obésité. Or en moyenne, un enfant à la cantine consomme deux fois les apports journaliers recommandés en protéines. Les aliments sont servis ou réchauffés dans des barquettes en plastique à usage unique. Les perturbateurs endocriniens contenus dans ces barquettes migrent dans les aliments et sont à l’origine de problèmes de puberté précoce, stérilité, cancers hormonaux. Sans compter l’impact environnemental désastreux de ces milliers de déchets quotidiens. Le recours à des aliments ultra transformés comportant un cocktail d’additifs controversés est trop fréquent. Il est urgent que le SIRESCO change ses pratiques. L’émission « Envoyé spécial » du 15 Novembre 2018 a montré le SIRESCO dans son dossier « Cauchemar à la cantine » et les récentes alertes sanitaires qui l’ont éclaboussé dans plusieurs villes (lasagnes moisies, concombres avariés, etc.) ont bien montré que la situation ne pouvait plus continuer. Pour améliorer la valeur nutritionnelle et la qualité hygiénique de l’offre alimentaire : nous demandons que le SIRESCO propose de vrais repas cuisinés, dans un délai bien plus court qu'actuellement (jusqu’à J+5), avec moins de viande, moins d’additifs, moins de pesticides, plus de produits locaux, de circuits courts, de saison et bannisse le plastique. Or cette demande ne peut passer que par les maires en Conseil Municipal. C’est pourquoi, au nom des militants des groupes locaux de Greenpeace Ile de France, des collectifs : Romainville Pas d’usine, on cuisine!; Aubervilliers, Mon assiette, Ma santé ; Arcueil, bien dans mon assiette ; Champigny Pas de barquette dans mon assiette ; Bien manger à Choisy ; des parents de la Courneuve et des autres villes adhérentes ; des enseignants de l'Education Nationale; nous demandons aux maires des communes membres du SIRESCO, dont Aubervilliers fait partie, de proposer et de voter au sein du syndicat : - L’instauration de deux repas végétariens cuisinés et bio par semaine et pour tous - L’abandon des barquettes en plastique pour de l’inox ou du verre - La réalisation de travaux pour une légumerie et pour un laboratoire pâtisserie - L’augmentation du nombre de cuisiniers - La mise en place effective et immédiate de toute autre mesure permettant l’obtention de la certification ECOCERT En Cuisine niveau 3 - L’adhésion au club des territoires de l’association Un Plus Bio - Des commissions restauration pour les parents et les convives dans toutes les villes du SIRESCO Signons cette pétition, pour que nos enfants aient enfin des repas de qualité, bons pour la planète, et bons pour leur santé !
    682 sur 800 Signatures
    Créée par Collectif Intervilles pour des Enfants Heureux à Table
  • Lyon
    Villeurbanne : pour des repas sains dans les écoles primaires !
    A Villeurbanne, les enfants mangent en moyenne moins d’un repas végétarien par semaine. Pourtant les enfants mangent plus de 2 fois les apports journaliers recommandés en protéine ! Malheureusement l’influence des lobbies des industries de la viande et des produits laitiers font tout pour continuer à nous faire croire qu’il faut consommer des protéines animales tous les jours. Ils rentrent même directement dans les classes afin de faire croire aux enfants que la viande est essentielle à leur développement et nécessaire à tous les repas. Ainsi dès leurs plus jeunes âges les enfants prennent des habitudes mauvaises pour leur santé, la surconsommation de viande augmentant les risques d’obésité, de cancer et de diabète. En octobre 2018, la loi agriculture et alimentation prévoit l’instauration d’un repas végétarien dans toutes les cantines scolaires à partir de novembre 2019, pour une période d’expérimentation de deux ans. Nous souhaitons accompagner les communes dans cette transition et les encourager à faire plus. NOUS DEMANDONS DONC AU MAIRE DE VILLEURBANNE DE : 1/ INTRODUIRE DEUX REPAS VÉGÉTARIENS PAR SEMAINE À HORIZON 2020 Certaines communes montrent déjà la voie en proposant deux repas végétarien par semaine, et la fréquentation des cantines a augmenté! Il est urgent de favoriser la consommation de protéines végétales, par rapport aux protéines d’origine animale. Lentilles, pois chiches, soja, etc. sont d’excellentes alternatives, bonnes pour la santé des enfants et goûteuses. Mais il faut savoir les cuisiner et former le personnel de cantine en ce sens. 2/ AUGMENTER LA PART DU BIO DANS TOUTE LA RESTAURATION SCOLAIRE De manière globale, c’est la qualité des repas servis à la cantine qui doit être améliorée : en favorisant le local et le bio, pour garantir une alimentation sans pesticides, sans OGM, sans additifs chimiques. De plus, la viande coûte cher. En consommer moins permet de dégager du budget pour acheter des produits de meilleure qualité : il s’agit tout simplement de consommer moins, mais mieux ! Pour le bien-être de tous et de la planète. 3/ INTERDIRE LA PRÉSENCE DES LOBBIES DANS LES ÉCOLES Distribution de kits pédagogiques, animation dans les classes... Les lobbies de la viande et des produits laitiers, qui représentent des intérêts privés, ne doivent tout simplement pas intervenir dans les écoles. Demandons à Monsieur le Maire de Villeurbanne de mettre fin à la surconsommation de viande dans les écoles. #2FoisTrop
    663 sur 800 Signatures
    Créée par Groupe Local de Greenpeace Lyon
  • Le Mans
    2 repas végétariens par semaine, OF COURSE Le Mans peut le faire !
    DEUX FOIS TROP ! Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison avec les quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Or, la surconsommation de viande a des conséquences sur la santé des enfants, entraînant entre autres surpoids et obésité. Elle a aussi des effets dévastateurs sur la planète puisque l’élevage industriel est responsable de 14,5% des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Par ailleurs, il est prouvé que la viande est l’un des aliments les plus gaspillés et la fréquentation des cantines augmente les jours où un repas sans viande est proposé. La viande coûte cher. En consommer moins permet de dégager du budget pour acheter des produits bio et de meilleure qualité. A partir de novembre 2019, la loi Alimentation prévoit l’instauration d’un menu végétarien obligatoire par semaine dans toutes les cantines scolaires. Certaines villes ont déjà pris les devants en allant plus loin que ce cadre réglementaire : Lille et Grenoble proposent déjà beaucoup de produits bio et deux menus végétariens par semaine en moyenne dans leurs cantines scolaires. Au Mans, la cuisine centrale sert plus de 10 000 repas par jour dont 8 000 à destination des crèches et écoles primaires. C’est pourquoi nous, citoyen-ne-s et parents d’élèves, demandons aux élu-e-s de la ville du Mans : 1/ D’INTRODUIRE DEUX REPAS VÉGÉTARIENS PAR SEMAINE AVANT FIN 2019 Il est urgent de favoriser la consommation de protéines végétales, par rapport aux protéines d’origine animale. Lentilles, pois chiches, etc sont d’excellentes alternatives, bonnes pour la santé des enfants et goûteuses. Mais il faut savoir les cuisiner et former le personnel de cantine. 2/ D’AUGMENTER LA PART DU BIO DANS TOUTE LA RESTAURATION SCOLAIRE Aujourd’hui au Mans, la part du bio est de 17%. La qualité des repas servis à la cantine doit être améliorée : il est urgent d’augmenter la part de local et de bio, pour garantir une alimentation sans pesticides, sans OGM, ni additifs chimiques à nos enfants. Mesdames et Messieurs les élu-e-s, un peu d’audace et d’engagement pour nos enfants. Ils méritent des repas de qualité aujourd’hui et une planète respirable demain ! OF COURSE Le Mans peut être une ville exemplaire pour la transition écologique. Faites en sorte qu’elle le soit : nous comptons sur vous ! #OfCourseLeMans #CantineVerte
    578 sur 600 Signatures
    Créée par Groupe Local de Greenpeace Le Mans
  • Champigny-sur-Marne
    Champigny et le SIRESCO : cessons le cauchemar dans les cantines des écoles !
    Les menus comportent beaucoup trop de viande. L’élevage industriel est responsable à lui seul de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre. C’est autant que le secteur des transports. D’après l’OMS la surconsommation de viande est une des causes du surpoids et de l’obésité. Or en moyenne, un enfant à la cantine consomme deux fois les apports journaliers recommandés en protéines. Les aliments sont servis ou réchauffés dans des barquettes en plastique à usage unique. Les perturbateurs endocriniens contenus dans ces barquettes migrent dans les aliments et sont à l’origine de problèmes de puberté précoce, stérilité, cancers hormonaux. Sans compter l’impact environnemental désastreux de ces milliers de déchets quotidiens. Le recours à des aliments ultra transformés comportant un cocktail d’additifs controversés est trop fréquent. Il est urgent que le SIRESCO change ses pratiques. L’émission « Envoyé spécial » du 15 Novembre 2018 a montré le SIRESCO dans son dossier « Cauchemar à la cantine » et les récentes alertes sanitaires qui l’ont éclaboussé dans plusieurs villes (lasagnes moisies, concombres avariés, etc.) ont bien montré que la situation ne pouvait plus continuer. Pour améliorer la valeur nutritionnelle et la qualité hygiénique de l’offre alimentaire : nous demandons que le SIRESCO propose de vrais repas cuisinés, dans un délai bien plus court qu'actuellement (jusqu’à J+5), avec moins de viande, moins d’additifs, moins de pesticides, plus de produits locaux, de circuits courts, de saison et bannisse le plastique. Or cette demande ne peut passer que par les maires en Conseil Municipal. C’est pourquoi, au nom des militants des groupes locaux de Greenpeace Ile de France, des collectifs : Romainville Pas d’usine, on cuisine!; Aubervilliers, Mon assiette, Ma santé ; Arcueil, bien dans mon assiette ; Champigny Pas de barquette dans mon assiette ; Bien manger à Choisy ; des parents de la Courneuve et des autres villes adhérentes, nous demandons aux maires des communes membres du SIRESCO, dont Champigny fait partie, de proposer et de voter au sein du syndicat : - L’instauration de deux repas végétariens cuisinés et bio par semaine et pour tous - L’abandon des barquettes en plastique pour de l’inox ou du verre - La réalisation de travaux pour une légumerie et pour un laboratoire pâtisserie - L’augmentation du nombre de cuisiniers - La mise en place effective et immédiate de toute autre mesure permettant l’obtention de la certification ECOCERT En Cuisine niveau 3 - L’adhésion au club des territoires de l’association Un Plus Bio - Des commissions restauration pour les parents et les convives dans toutes les villes du SIRESCO Signons cette pétition, pour que nos enfants aient enfin des repas de qualité, bons pour la planète, et bons pour leur santé !
    545 sur 600 Signatures
    Créée par Collectif Intervilles pour des Enfants Heureux à Table
  • Nancy
    Pour des menus végétariens dans les écoles primaires de Nancy
    - La pêche et l’élevage industriels ont des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux, etc.). Ils sont également à l’origine d’"antibiorésistance”, un phénomène qui rend nos antibiotiques de moins en moins efficaces pour lutter contre certaines bactéries. A tel point que l’Organisation Mondiale de la Santé a déclaré ce problème "d’enjeu sanitaire majeur”. - Une alimentation trop riche en graisses et en protéines animales peut entraîner une augmentation des maladies (obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires, etc.). Les bonnes habitudes alimentaires doivent être prises dès l’enfance. Nous, groupe local de Greenpeace à Nancy, menons une campagne sur la restauration scolaire de notre ville qui délivre 5000 repas par jour. Dans ce cadre, nous échangeons avec la mairie pour l’encourager à mettre en place des menus végétariens* dans les cantines des écoles maternelles et primaires. La mairie de Nancy a déjà mis en place 43 % de produits locaux et 15 % de produits bio. Elle projette d’atteindre 75% de bio et 75 % de local, mais à l’horizon 2030 seulement. Elle s’est aussi engagée à mettre en place un menu végétarien obligatoire, par semaine, dès septembre 2019, comme le demande la Loi EGAlim. Compte tenu des urgences environnementales et climatiques auxquelles nous faisons face, nous demandons à la mairie d’aller plus loin et de passer à deux menus végétariens pour tous, par semaine, d’ici la fin de l’année. Notre proposition : - Un menu végétarien avec un repas à base de protéines végétales (en combinant légumineuses : pois chiches, lentilles, ... et céréales : blé, ...) - Un menu végétarien avec un repas à base de protéines animales (oeufs, produits laitiers, etc.) Soit 2 menus végétariens par semaine. En introduisant plus de végétal, la ville pourra également dégager du budget et investir dans l’achat de produits frais, bio et locaux. Soutenez cette démarche dès aujourd'hui : 1. en signant ce manifeste ; 2. en venant visiter notre Foodtruck, le week-end du 22/23 juin 2019. De plus amples informations à venir sur notre manifeste et notre page Facebook : https://www.facebook.com/GreenpeaceNancy/
    526 sur 600 Signatures
    Créée par Groupe Local de Greenpeace Nancy
  • Clermont-Ferrand
    Cantines de Clermont-Ferrand : ensemble pour la santé des enfants et de la planète
    Cette surconsommation de viande et de produits laitiers : - Détruit la planète : l’élevage est synonyme de déforestation, d’émissions de gaz à effet de serre, de pollution des eaux… - Nuit au bien-être animal : les animaux élevés de façon industrielle souffrent dans les élevages en batterie, les ferme-usines, dans les chaînes d’abattage industrielles… - Impacte notre santé : une alimentation trop riche en graisses et en protéines animales peut entraîner une augmentation des maladies (obésité, diabète… et donc maladies cardio-vasculaires) A partir du 1er novembre, la ville de Clermont-Ferrand sera tenue de proposer un menu végétarien par semaine dans ses écoles (loi EGAlim). Au vu de l’urgence climatique et sanitaire à laquelle nous faisons face, nous demandons à la ville de Clermont-Ferrand d’aller plus loin en proposant 2 menus végétariens par semaine et de proposer, pour les autres menus composés de viande, une viande de qualité (prise en compte de critères tels que la taille de l’exploitation, type d’exploitation, type d’alimentation des animaux et circuit court). De plus, les menus végétariens devaient être composés avec un maximum de produits locaux et bio. D’autres villes ont déjà sauté le pas : les municipalités Grenoble et Lille ont par exemple déjà mis en place avec succès 2 repas végétariens par semaine dans leurs cantines. Pourquoi pas Clermont-Ferrand ? Monsieur le maire, vous aussi, vous pouvez agir pour défendre la sante des enfants et de la planète. Nous comptons sur vous !
    465 sur 500 Signatures
    Créée par Groupe Local de Greenpeace Clermont-Ferrand
  • La Rochelle
    2 repas végétariens par semaine dans les écoles primaires, La Rochelle peut le faire !
    En octobre 2018, la loi agriculture et alimentation a prévu l’instauration d’un repas végétarien hebdomadaire dans toutes les cantines scolaires à partir de novembre 2019, pour une période d’expérimentation de deux ans. La ville de La Rochelle, référente au niveau national pour son engagement dès les premières heures en faveur de l’écologie, s’inscrit dans cette démarche en proposant depuis janvier 2019 un repas végétarien par mois dans les cantines scolaires. La ville s’est engagée à proposer un repas végétarien par semaine d’ici la fin de l’année, comme le prévoit la loi. C’est un bon début, mais ce n’est pas suffisant et il est urgent de faire plus ! Nous souhaitons accompagner notre ville dans cette transition et encourager nos élu.e.s à faire davantage pour nos enfants. Si nous voulons agir pour la transition de nos modèles agricoles et alimentaires, il nous faut miser sur le courage et l’engagement de nos décideurs locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants en allant plus loin que le cadre légal, comme c’est le cas à Lille et Grenoble, qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Pourquoi est-ce si important ? - A l'école, rien que pour le déjeuner, la viande et les produits laitiers servis représentent à eux seuls entre 200 et 400% des apports en protéines conseillés par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (ANSES). Réduire l’apport de protéines animales au profit des protéines végétales (céréales et légumineuses) permet de varier les sources de protéines, assurant ainsi une meilleure santé à nos enfants. - Une alimentation trop riche en graisses et en protéines animales peut entraîner une augmentation des maladies (obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires…) - La surconsommation de viande a des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…) - Notre alimentation impacte l’environnement et le climat. L’élevage représente plus de 14 % des émissions globales de gaz à effet de serre, ce qui est comparable aux émissions du secteur des transports ! Loin de n’être qu’une mode passagère, la réduction de la viande et plus généralement de la portion de protéines animales à la maison comme à la cantine, est le fruit d’une réflexion partagée par un nombre toujours plus important de familles soucieuses de la santé de leurs enfants et de celle de la planète. Objectif : Deux repas végétariens par semaine pour la rentrée ! Mesdames et Messieurs les élu.e.s, allez plus loin dans votre engagement pour nos enfants en proposant dès maintenant davantage de repas de qualité, nos enfants le méritent … la planète aussi ! #2FoisTrop #CantineVerte #VégéCantine
    464 sur 500 Signatures
    Créée par Groupe Local de Greenpeace La Rochelle
  • Lyon
    Lyon : pour des repas sains à la cantine !
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). Lyon n'échappe pas à ce constat. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d'agir ! Monsieur Collomb, nous vous demandons d'introduire dès maintenant : - Deux menus sans viande ni poisson pour tou.te.s par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine ; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Paris 2 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Lyon ? OUI, Lyon doit être exemplaire. Notre ville doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    441 sur 500 Signatures
    Créée par Pierre C.
  • Bagnolet
    Bagnolet : pour une alimentation durable à la cantine !
    Aujourd’hui, deux fois trop de viande et de produits laitiers sont servis aux enfants dans les cantines scolaires, en comparaison des quantités recommandées par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). La ville de Bagnolet n'échappe pas à ce constat. Malgré les démarches des collectifs de parents soutenus par Greepeace et l'AVF cette demande n'est toujours pas entendue. La surconsommation de viande et de produits industriels peut entraîner une augmentation des maladies, comme l’obésité, le diabète, des maladies cardio-vasculaires… Cette surconsommation a également des effets dévastateurs sur la planète (déforestation, émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux…). Au contraire, diminuer la quantité de viande peut permettre de réduire le coût des repas, et en conséquence augmenter la part des produits de qualité, pour que valeurs nutritionnelles et plaisirs gustatifs soient également au menu. Face à ce constat, il est grand temps d’agir ! Monsieur Di Martino, nous vous demandons d'introduire le plus rapidement possible : - Deux menus sans viande ni poisson pour tous par semaine, dont un exclusivement végétal (composé de céréales, légumineuses…mais sans fromage ni oeuf)* ; - Une option menu sans viande ni poisson les autres jours de la semaine pour ceux qui le souhaitent; - Une majorité de produits frais, bio et locaux. (Pas de produits industriels trop sucrés, salés et gras) Certaines villes ont déjà pris les devants, comme c’est le cas à Lille, Grenoble, Fontenay/Bois, Paris 2, Paris 18 ou encore Mouans-Sartoux qui ont entre 20 et 50 % de produits bio et déjà 2 menus végétariens par semaine en moyenne. Si ces villes ont déjà opéré une transition végétale des cantines scolaires pourquoi pas Bagnolet ? Oui, Bagnolet peut être exemplaire en Seine Saint Denis et sur Est Ensemble. Notre ville doit jouer son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et faire de la santé des enfants une priorité. * La nouvelle loi “Agriculture et Alimentation” prévoit uniquement l'introduction d’un repas végétarien hebdomadaire dans les cantines scolaires, à titre d’expérimentation, pour une durée de deux ans.
    426 sur 500 Signatures
    Créée par Collectif Intervilles pour des Enfants Heureux à Table
  • Chambéry
    Plus de repas végétariens pour tous les enfants dans les écoles primaires de Chambéry !
    La Mairie de Chambéry a confié la restauration scolaire à SODEXO et laisse depuis 2018 aux parents le choix, à la rentrée, et pour toute l’année, entre les formules "avec" ou "sans viande". Mais "sans viande ne veut pas dire "végétarien" car du poisson est la plupart du temps proposé comme alternative. Les enfants ont aussi régulièrement des œufs (non bio, non locaux), des « fromages » panés sous différentes formes et des boulettes de soja (non bio, non locales). Aujourd’hui nous savons que la pêche industrielle est dévastatrice pour les milieux marins, et que l’élevage industriel de viande (ou de poisson) : - a un impact désastreux sur l’environnement : il produit 14,5% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, participe à la pollution des eaux et les cultures pour l'alimentation des animaux, souvent OGM, sont responsables d’une grande part de la déforestation. - nuit aussi à notre santé : une alimentation trop riche en graisses et en protéines animales peut entraîner une augmentation des maladies (obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires…) et une résistance aux antibiotiques, utilisés massivement dans les élevages industriels. - provoque la souffrance animale dans les élevages en batterie, les fermes-usines, les chaînes d’abattage industrielles… Au vu de l’urgence climatique et sanitaire, nous demandons à la ville de Chambéry d’aller plus loin : - en proposant deux menus végétariens par semaine, sans viande ni poisson, à TOUS LES ENFANTS - en instaurant un cahier des charges clair pour la viande : production locale, d’origine biologique ou issue d’élevages responsables et nourrie sans OGM, - en augmentant la part de produits locaux et bio (aujourd’hui de 20 à 30% seulement malgré une promesse de 60%) en augmentant la part des protéines végétales autres que le soja . Nous ne demandons pas la suppression totale de la viande, mais une amélioration globale de la qualité des repas, et ce, pour la santé des enfants, pour le goût, pour la mise en valeur des filières locales et respectueuses de l’environnement. La collectivité, achetant moins de viande et de poisson, pourra basculer cet argent sur les produits bio et locaux - dont la viande - sans augmenter le coût des repas. Les municipalités comme Grenoble ou Lille ont déjà mis en place avec succès deux repas végétariens par semaine dans leurs cantines. Si c’est possible ailleurs, pourquoi pas à Chambéry ? Signez cette pétition pour demander à la Mairie d’aller plus loin et proposer aux enfants chambériens une alimentation de meilleure qualité, tout en préservant la planète et en encourageant la production locale !
    418 sur 500 Signatures
    Créée par Groupe Local de Greenpeace Chambéry